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Accueil du site > OpenCPN > Cartes Google Earth
Cartes Google Earth
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Annexe sur l’alarme de mouillage dans OpenCPN |
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Présentation
Il a fallu classer l’art de la navigation dans les sciences mathématiques, pour trouver des solutions sortant de l’espace limités de leurs certitudes. Et recadrer de faux problèmes de pilotage : des îles fictives, des vigies inutiles, abondamment semées (écueils qu’on croyait avoir aperçu en haute mer et qu’on signalait sans avoir pris la peine d’en vérifier l’existence). Des lignes côte subjectives et erronées. Tout ceci provoquant au pire du sang et des larmes, au mieux des retards couteux et dangereux : pour sécuriser un atterrage, on sondait beaucoup, voire mettre à la cape, sans parler des allongements de routes inutiles Avec la manière d’obtenir les éléments de l’estime, les erreurs sur la dérive, l’ignorance des courants, les faibles vitesses et les durées des traversées, les vents variables, l’abus des calculs graphiques, on trouvera naturelles les énormes erreurs que l’on rencontre dans la position estimée du navire. |
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La topologie peut avoir une grande importance, en navigation, mais surtout au mouillage. Vu sur une carte 2D un mouillage peut sembler très sécurisant, et révéler un piège si on l’on l’observe en 3 D. |
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Ce projet, actuellement en phase bêta, est prêt à être lancée auprès des premiers utilisateurs. Mais, Imray a maintenant besoin de soutiens pour continuer à développer l’aspect social de la plate-forme. |
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Les principales cartographies aujourd’hui supportées par ScanNav, sont :
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Outil destiné principalement aux développeurs et pour aider à résoudre les problèmes de flux de données NMEA. |
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Ex arlésienne, longtemps désiré, ce plugin permet aux utilisateurs hors eaux US, brésiliennes ou néo-zélandaises, de ce passer légalement des CM93 tombées sur les quais... Mais, cela a un coût élevé, et impose de lourdes contraintes techniques de mise en place. Pour les eaux dépendant du SHOM, une alternative existe avec les S-57 du SHOM partiellement décryptées. Plus simple d’usage, mais pas beaucoup moins onéreuses... |
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Ce plugin enregistre toutes les phrases NMEA traitées par OpenCPN |
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Squiddio est un référentiel global et entretenu par les utilisateurs gérant des informations de navigation (marinas, mouillages, les clubs nautiques, les quais, stations de carburant, etc.) disponibles par des WP dans OpenCPN grâce à un plugin. La boîte de dialogue Propriétés du waypoint affiche des informations de base sur la destination, telles que la note moyenne des utilisateurs de la destination, l’adresse et le numéro de téléphone (si disponible) et un lien vers la page internet de la destination sur sQudd.io |
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Ce plugin permet de pré-stocker dans le cache de Google Earth des images utilisables en navigation hors connexion. |
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VFkaps, automatise la création de cartes KAP à partir d’images satellites « à la volée ». |
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Courants en Euripe dans le golfe d’Eubée, à l’instar d’Aristote, je me jette à l’eau : tenter d’expliquer l’anarchie des courants de Chalkis |
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Les (bons) marins prennent toujours la météo avant de choisir une route, mais pas encore assez souvent les deux autres paramètres : courants et vagues, parfois bien plus dangereux. Un excellent outil est à notre disposition : marc.ifremer, développé pour les côtes françaises |
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Habituel chez les professionnels, mais plus rare pour les plaisanciers, passer Sein en hiver exige de l’expérience, de la patience, un bon bateau, et de l’humilité |
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Le drone maritime Drix/ixblue permettra à la NOAA américaine de contrôler et de déterminer la position de ses cartes de façon extrêmement précisément, précise, de l’ordre de 10 centimètres |
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On trouve de plus en plus de traces, de routes ou de WP téléchargeables. On peut les afficher directement et facilement sur Google earth, pour contrôle en 2 clics... Module opératoire : |
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Aujourd’hui, les cartographies numériques sont de plus en plus nombreuses. Mais quelque soient leurs qualités intrinsèques, elles ont quasi toutes un même défaut, d’abord leur mise à jour plus ou moins régulières, et l’affichage du relief et des caractéristiques des côtes. Un trait de côte ne nous donne pas suffisamment d’informations sur la nature d’un mouillage ou sur les infrastructures d’un port. Mais les images satellites peuvent nous y aider, soit seules, soit intégrés et géolocalisés dans un logiciel de navigation |
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Concevoir une méthode autonome de contrôle des outils de navigation électronique du bord, organiser ses propres outils tout en restant simple et autodidacte, dans des conditions climatiques et météorologique extrêmes, tel était le challenge de Cybèle 17 |
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Élément incontournable pour le traitement des informations électroniques du bord, le PC est de plus en plus concurrencé par les tablettes, voire les smartphones |
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Pratique et efficace, la lecture des cartes vectorielles, comporte des risques liés à l’origine de ces cartes, et au soin apportés à leur affichage par les éditeurs de cartes électroniques (ENC). La technique du zoom comprend quelques risques, dont une perte de repères en cas de zoom excessif. Certaines versions des C-Map CM93 v2, comportent un risque inverse : par manque d’information, elle afficheront une plage vierge trompeuse. |
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Le plugin Weather Routing pour OpenCPN, est conçu pour calculer les positions que le bateau pourrait éventuellement prendre à un moment donné, en fonction de son potentiel de vitesse et des conditions météo présumées. |
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Bridée depuis sa conception, par un déficit cartographique affectant les côtes européennes, OpenCPN se dote d’un plugin donnant accès à la technologie vectorielle. |
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Ports et mouillages des côtes éoliennes (partie Nord) et leur approche, depuis Le cap Baba jusqu’à Foça |
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SYMBOLES, ABRÉVIATIONS et TERMES utilisés sur les cartes marines |
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Ports et mouillages du sud de la Mer de Marmara. C’est la bonne option pour remonter depuis les Dardanelles vers le Bosphore. On y trouvera des courants opposés faibles, voire de bons contre courants. On y trouvera aussi de bons mouillages, mais, conséquence d’une évolution tellurique liée à l’activité de la faille nord anatoliennes, les fonds bougent tout le temps... |
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La mer n’est jamais domptée par l’homme. Le marin promis à une longue vie est celui qui cède à la mer lorsqu’elle se fâche pour mieux lui survivre et qui en toute circonstance saura exploiter ses cadeaux et ses faiblesses. La combinaison des savoirs accumulés, des attentes des navigateurs, des progrès techniques et des conditions naturelles a défini des routes et a façonné un espace-temps original, que les thalassocraties antiques ont tenté de maîtriser à leur profit. |
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C’est une technique mise au point par un navigateur canadien, Paul Higgins et son application GE2KAP qui permet de visualiser les erreurs des cartes en leur superposant une image Google Earth. |
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Pour les plaisanciers laissant leur bateau en Turquie, l’évolution politique récente amène à chercher des solutions alternatives dans les îles proches du Dodécanèse |
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La première version stable : v 1.0.0, vient de sortir. Comparaisons entre les versions PC et Androïd : Il y a autant de façons de préférer l’une ou l’autre version, qu’il y a de façons de naviguer. Grosso modo, la version classique pour PC, présente la meilleure offre technique, les supports smartphone ou tablette Androïd, sont plus ludiques. |
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Chap 1 - Avalon routage - Table des chapitres détaillés |
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ART 10 Avalon Routage - Météo |
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Avalon Routage - Art 8 Avalon Routage - La Navigation |
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Avalon Routage - Gérer la cartographie |
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Avalon Routage - Gérer les Waypoints |
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Chap 5 - Avalon routage - Résumé des détails de route et transferts |
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Chap 4 - Avalon routage - les paramètres du routage |
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Chap 3 - Avalon routage - Choix des sources Météo (vents, courants, vagues et météo) |
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Avalon routage - Choix du bateau |
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Pouvoir se positionner géodésiquement sur une carte marine, ne manque pas d’intérêt... Pouvoir le faire précisément est un plus... Encore faut-il à ne pas avoir à maîtriser une usine à gaz C’est ce à quoi tente de répondre cet article |
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L’ indéniable apport de l’application du process de P Higgins sur la fusion par transparence, des carte vectorielles et de Google Earth. (GE2KAP). C’est absolument parfait. |
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Alternative aux versions pré mâchées sous Windows et Mac OS, cette version d’OpenCPN sous Linux distribution Mint, offre la simplicité d’une conception cartésienne appliqué à la philosophie Open Source de Linux. C’est vous le décideur, et LinuxMint met à votre disposition des outils adaptés à votre niveau technique. Pour ce tutoriel, nous avons opté pour son environnement XFCE, le plus accessible, qui vous permettra de reprendre enfin le contrôle de votre ordinateur |
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Variante de la technique mise au point par un navigateur canadien, Paul Higgins et son application GE2KAP. Elle permet la visualisation d’options du programme SAS Planet |
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Présentation Selon Courtanvaux :
A la mer, c’était par des observations lunaires qu’on devait réussir. Pour cela il fallait avoir de bonnes tables de ce satellite |
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Présentation La latitude et l’heure locale s’obtinrent par des observations de hauteur. De nombreux instruments furent employés pour mesurer la hauteur ou pour lire directement ces éléments. Instruments compliqués et d’un usage délicat. Il valait mieux construire des tables, c’est ce que fit Cassini, ou utiliser des graphiques. |
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Les règles d’édition de l’OHI La publication S-57 de l’OHI (S-57 de l’OHI) constitue la Norme de l’OHI pour le transfert de données hydrographiques numériques. Cette norme est à utiliser pour l’échange des données hydrographiques numériques entre Services hydrographiques, ainsi que pour la diffusion des données hydrographiques aux fabricants, aux navigateurs et aux autres utilisateurs de données (par exemple, les organisations de gestion de l’environnement). Elle a été conçue de façon à ce que le transfert de toutes formes de données hydrographiques s’effectue de manière uniforme et cohérente. Les objets sont défini par un acronyme de 6 lettres. ils s’écrivent toujours en majuscule A ces objets se rattachent des attributs, écrits également en acronymes majuscules de 6 lettres. l’OHI définie les conditions de rattachement d’un attribut à un objet Les attributs s’éclatent en données présentées par un index chiffré, se rapportant à un tableau dans le catalogue. |
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Équivalent des cartouches des cartes raster ou papier, des méta objets masqués en multiples sous couches, fournissent toute une batterie de renseignements sur la nature des fonds, et des objets des cartes vectorielles. Accessibles par un clic droit sur un endroit donné d’une carte, ces méta-objets s’affichent en cartouche, sous forme de menu déroulant |
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Plus de quatre siècles ont été nécessaire pour faire avancer les progrès de la science et des techniques. C’est ce que Frédéric Marguet, marin, officier et historien de la marine a mis en évidence, retraçant notre histoire maritime un peu oubliée. |
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Cet ouvrage est d’abord une nouvelle édition de mon Histoire de la Longitude à la Mer au XVIIIe siècle en France. Mais j’ai étendu et remanié considérablement les premiers chapitres, de manière à exposer ce qui a été fait pour se situer et se diriger sur mer a partir de la fin du XVe siècle. J’ai donc été conduit à écrire l’histoire du « point estimé » et celle de la « carte marine ». Ces questions et celle de la longitude n’en font d’ailleurs qu’une seule, comme on le verra. D’autre part le problème de la loxodromie, quand il s’est posé, a présenté des difficulté très grandes ; tout comme la recherche de .la longitude astronomique. Enfin, dans un dernier chapitre, j’ai signalé, à grands traits, les apports du XIXe siècle. Or il n’existe encore aucun travail d’ensemble où l’on ait voulu présenter l’Histoire de La Navigation sous tous ses aspects. |
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Bonjour Vous avez été redirigé vers cette page, pour avoir activé un lien vers un dossier en attente de parution. Ci-dessous les chapitres traités et leurs dates de parution |
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Présentation Des habitudes et des pesanteurs culturelles : on peut comprendre que les pilotes enracinés dans leur savoir-faire empirique, et pouvaient-ils faire autrement, aient résisté aux théories des calculs lunaires ou de la recherche de la longitude. Ils remettaient même en cause les règles de nÅ“uds du loch, c’est dire !!! Il en allait tout autrement du corps des officiers, car d’après Fleurieu :
C’est par la formation que l’on s’en sortira, et c’est à quoi s’attelèrent les Académies : l’Académie de Marine, mais aussi l’Académie des Sciences et même l’Académie française !!! |
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Présentation F Marguet conclu :
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Présentation
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Présentation
On en discuta beaucoup, mais c’est vers le milieu du XVIIIe siècle que furent proposées, parmi toutes les méthodes logiquement possibles, celles sur lesquelles devaient porter les dernières discussions. D’abord la méthode proposée par Bouguer en 1753, puis Pingré en 1758, La Caille l’année suivante, enfin Rochon, en mars 1768 dans son voyage vers l’île de France, démontra dans cette traversée que la méthode permettait d’atterrir précisément. |
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Présentation Julien Le Roy le collaborateur de Sully, avait donné un grand essor à l’horlogerie de notre pays. On lui est surtout redevable, dit Berthoud, de la perfection que la main-d’œuvre acquit de son temps. Pierre Le Roy, son fils, doué d’un tempérament d’artiste, n’a vraiment livré que deux horloges à l’étude des marins et des astronomes. Mais les principes de leur construction étaient simples, clairs et si justes, qu’ils ont été adoptés après lui, malgré de profondes modifications dans leur réalisation Ferdinand Berthoud né à Neufchâtel, vint à Paris, en 1745, à l’âge de 18 ans, et il s’y installa à proximité de Julien Le Roy. Il a incomparablement plus écrit et plus construit que Pierre Le Roy. Tenace et grand travailleur, en 1763, un gros Essai sur l’Horlogerie, annoncé dans son Art de conduire les pendules publié à La Haye en 1759, le fit connaitre avantageusement. |
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« ExtGPS » petit programme pratique, sous Androïd, permet l’utilisation du GPS d’un Smartphone, par OpenCPN. Sans liaison filaire, Bluetooth assure la connexion entre le GPS du Smartphone et OpenCPN. Le tout... gratuit !!! merci aux développeurs. |
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Présentation Les tentatives pour obtenir la longitude par la boussole ou par les satellites de Jupiter ne devaient pas aboutir. Il restait heureusement les montres et le mouvement de la Lune, et le succès devait être assuré ces deux méthodes. De toute nécessité il faut une montre parfaite pour la longitude. Huyghens, le premier réalisa l’emploi du pendule (1656) et du ressort spiral comme régulateurs des horloges et des montres et songea a faire sur mer l’application de ses découvertes. Sully était anglais, et vint s’établir en France, vers 1714 à l’âge de 34 ans. Il construisit une montre à rouleaux et à régulateur spiral. Lui aussi voulu faire l’épreuve de ses inventions sur l’eau. Ce qui fut fait à Bordeaux, en décembre 1726. En même temps que Sully travaillait en France, Harrison, fils d’un charpentier de Foulby, dans le Yorkshire, commençait ses études en Angleterre. De 1762 à 1766, réussissant une montre parfaite, il obtint le prix accordé l’acte de 1714. Malheureusement sa construction trop compliquée ne pouvait pas servir de modèle pour les montres futures |
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Présentation Le moyen le plus simple d’avoir le temps du premier méridien, consistait à se servir des éclipses des satellites de Jupiter. En effet, une fois en possession de tables de prédiction, l’observation brutale d’une immersion ou émersion donne immédiatement l’heure cherchée. La méthode était séduisante par sa simplicité même. C’est après la publication des éphémérides de D. Cassini en 1668, qu’on commença à utiliser les éclipses à la détermination des longitudes. Picard, Huyghens et Cassini furent les premiers qui s’y appliquèrent. La méthode avait un grave inconvénient, sur lequel Verdun, Borda et Pingré insistent :Il y avait des périodes pendant lesquelles on ne pouvait observer une seule éclipse du premier satellite. Mais la grosse difficulté, non résolue encore, était dans l’observation. Il est pratiquement impossible, par suite de l’agitation du vaisseau sur mer agitée, de conserver Jupiter et les satellites dans le champ des lunettes assez fortes nécessaires à cette mesure |
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Présentation On a tenté d‘améliorer le loch à nÅ“uds, associé à un sablier : en utilisant la pression sur deux tube dont courbé dans le sens de la marche. La différence de hauteur d’eau donne vitesse, par lecture des différences de pression. Bouguer, a aussi proposé un second système de loch dont la vitesse était mesurée par le choc ou impulsion de l’eau sur un corps immergé. Un jeune allemand, Wallot, amateur d’astronomie, essaya un loch à moulinet dont les tours s’enregistraient sur un cadran à bord. Le système fut abandonné, c’est pourtant le principe de nos speedomètres modernes Si on a su assez vite établir un lien entre les marées et le calendrier lunaire, ce ne fut que tardivement, l’Annuaire des marées date de 1839. Les courants étaient profondément méconnus au XVIIe siècle encore. Les problèmes que posait la boussole furent l’objet de travaux plus considérables que ceux qui étaient relatifs au loch. La nature du pivot et la forme des aiguilles, mais aussi sa position sur le navire firent l’objet de recherches et de nombreuses publications. Le stade ultime de ces recherches débouchant sur la mécométrie. Guillaume de Castelfranc dit Le Nautonier, utilisant les propriétés du géomagnétisme pour tenter de définir la longitude |
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Présentation
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Présentation
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Présentation Né en 1874, décédé en 1951 Ferdinand Marguet publia son histoire générale de la navigation du XVème au XXème siècle en 1931. Prophète, il ressenti l’accélération de la technique et conclu son ouvrage de cette citation :
Historien, il a montré les progrès accomplis pour les théories des calculs lunaires, de l’horloge de longitude, du sextant et de la droite de hauteur. De même pour la boussole et les techniques de loch, où il a fallu trouver des solutions aux problèmes de la déclinaison, de la déviation, et comprendre les phénomènes des courants et des marées Il montre bien que si les théories étaient perçues très tôt, leur application correcte ne pouvait passer que par les progrès de la technologie. Et quand on pense qu’il n’a pu traiter ni des moyens radiogoniométriques, ni du radar, ni du GPS et de l’AIS, arrivés en si peu de temps, on est pris de vertige sur cette phénoménale accélération technologique… |
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Présentation
De Hooke en 1666 se servant d’un miroir pour ramener la direction d’un objet sur celle d’un autre et permettre de cette manière la mesure d’un angle, au sextant d’ Hadley et de Thomas Godfrey , en passant par l’octant d’Hadley en 1731, on a su mettre au point les moyens techniques de mesure d’angle. |
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Dans beaucoup de cas, les utilisateurs d’OpenCPN ouvriront l’outil route en prévision d’un trajet à accomplir. Ce seront très souvent des fichiers temporaires dont on se sert pour contrôler une trace. Il existe des exceptions, où ces routes serviront à repérer des points d’intérêts précis |
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Certains utilisateurs n’apprécient guère les couleurs d’origine du logiciel. Il est possible de les modifier. |
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OpenCPN, cartes vectorielles : gestion de l’affichage des textes et lignes de sonde L’un comme l’autre dépendront des paramètres de chargement d’OpenCPN, des répertoires de cartes et du paramétrage des commandes d‘affichage |
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Le logiciel « XnView » permet de visualiser les cartes Google Earth « KAP-BSB ». |
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C’est une technique mise au point par un navigateur canadien, Paul Higgins et son application GE2KAP qui permet de visualiser les erreurs des cartes en leur superposant une image Google Earth. |
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On trouve de plus en plus de logiciels spécifiques pour la navigation adaptés à Androïd pour de faibles coûts. |
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Le protocole NMEA183 et une liste exhaustive des phrases NMEA 183 |
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Comment connecter un pilote Raymarine et OpenCPN ? |
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Les informations statistiques de la NOAA, sur la force des vents, l’hydrographie des grandes zones de navigation, données par mois, sont lisibles sur une carte dédiée avec OpenCPN. Simplifiées elle permettent une interprétation rapide des conditions de navigation pour un périple donné. |
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Les systèmes géodésiques utilisés pour la numérisation des cartes électroniques vectorielles, ne sont pas toujours homogènes. Pour les grands pays aux traditions maritimes anciennes et bien établies, on rencontrera peu de problèmes. Pour certains services hydrographiques de pays émergeants, la récupération de données externes exotiques, et leur distribution difficilement contrôlable, peut amener à des erreurs géodésiques importantes. OpenCPN propose un système d’ajustement des compensations géodésiques, au sujet duquel, il est logique de s’interroger. C’est l’objet de ce dossier |
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Il est possible d’afficher en français les anglicismes des objets définis par l’OHI, pour les cartes électroniques vectorielles |
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Il est possible de créer ses propres icônes pour désigner les waypoints que l’on dépose sur la carte. |
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Comment interconnecter ces 3 instruments. |
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Gérer en détail les traces, routes, WP et les couches d’OpenCPN |
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Si par le plus grand des malheurs, vous trouviez dans la position de retrouver un homme à la mer |
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L’installation et l’utilisation de SAR pattern |
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SAR pattern, Un logiciel de création de circuits de recherche à vue normalisés IAMSAR |
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Il faut évidemment se méfier de cartes en fusion/transparence dont on ne connaît pas l’origine |
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La connexion instable des souris GPS-USB branchées sur un PC est souvent évoquée, particulièrement lorsque le PC fonctionne avec Windows Seven « W7 ». |
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Hors nos côtes d’Europe occidentale, de celle des Etats-Unis d’Amérique, et des grandes nations industrielles, beaucoup de relevés cartographiques datent et manquent de contrôle et de surveillance. |
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Voilà l’ensemble des liens permettant de (presque) tout savoir sur les divers ports et mouillages de la côte Turque ! |
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Ce logiciel permet de préparer sa navigation en documentant les marques de parcours (WP) pour les transformer en points remarquables (POI) qui pourront être reportés sur une cartographie électronique qui accepte d’importer le format « gpx » |
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This software is an easy tool to transform waypoints into real « POI » (Places Of Interest). Any type of information may be linked to the place of interest by means of hypertext links. The target of the links may be a file in the PC or an internet link. |
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Les fichiers contenant les cartes sont indexés par répertoires identifiés par 8 caractères numériques. Comment cela est-il organisé ? Comment sélectionner ceux dont on a besoin ? |