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Pratiques et Techniques de la Plaisance

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Accueil du site > Trucs et astuces > Manoeuvres du bateau (brèves) > Une liaison chaîne ancre peu connue

Rubrique : Manoeuvres du bateau (brèves)

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Une liaison chaîne ancre peu connueVersion imprimable de cet article Version imprimable

Publié Juillet 2011, (màj Août 2011) par : Pil-Poil   

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La liaison chaîne-ancre avec une chape pour haubans

On lit assez souvent sur les forums que les liaisons chaîne-ancre font des misères : rigidité d’articulation, torsion sur la verge lorsque le bateau tourne autour de son ancre, les grosses manilles lyre ne passent pas le davier, etc ...

Et surtout il y a eu un certain nombre de ruptures dramatiques d’émerillons spécialement réalisés pour cette fonction de liaison . Le point faible est souvent la vis de liaison ou l’articulation de l’émerillon quand il y en a une.

Une bonne solution est d’utiliser une chape en inox 316L normalement prévue pour fixer les haubans aux cadènes de pont. Ces chapes ont une résistance à la rupture garantie et sont fiables, sans pièces mobiles.

Le montage d’une telle chape sur l’ancre permet une articulation selon deux axes perpendiculaires.

La photographie ci-contre provient d’ ici , je n’ai pas d’autre image sous la main... trop loin du bateau.
- 

Au moment de l’achat, il faut veiller à ce que l’inox ne soit pas de la série « HR » (Wichard) (« high resistance »), qui a le défaut de mal résister à l’immersion dans l’eau de mer en longue durée. De même si on prend une manille lyre, éviter la version « HR » de l’inox 316.

Personnellement, après les bris d’émerillons rapportés dans la presse il y a quelques années, et ayant entraîné un rappel général de ces émerillons par leur constructeur, je n’en utilise plus aucun d’aucune marque.

UP


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42 Messages de forum

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  • 26 août 2011 11:46, par Peio écrire     UP

    Bravo pour l’idée que je vais rapidement mettre en pratique.

    Et, oui c’est vrai, ces émerillons dont la partie la plus cruciale est invisible et donc non-contrôlable (l’axe central) sont à proscrire. J’ai failli, il y a quatre ou cinq ans, avoir de très très gros ennuis après que cet axe se soit dévissé alors qu’il n’y avait personne sur le bateau au mouillage. Résultat heureusement limité en dégâts : la perte de l’ancre.

    Répondre à ce message

    • En réalité l’idée est certainement très ancienne, je l’ai vue chez Alain Poiraud, mais lui-même l’a probablement vue ailleurs, qui l’a vue ailleurs, etc ... :-)

      Examinée à postériori, l’idée de la chappe de hauban est une évidence quand on veut 2 axes de rotation et est largement utilisée pour cette fonction pour la liaison entre le tambour d’enrouleur du génois et le point d’ancrage à l’avant du bateau pour éviter le cisaillement des classiques lattes à trous utilisées par le passé.

      Répondre à ce message

      • 26 août 2011 13:24, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        Une réserve cependant : un cardan de hauban est conçu pour travailler dans l’axe et va se tordre si on tire fortement à 90° de l’axe de la verge de l’ancre.
        Je ne vois pas bien ce que ça apporte de plus que ma solution de maillon rapide une taille au-dessus du fil de la chaine, surtout si on perce un trou de 2 dans l’écrou pour l’assurer avec un fil frein à la mode aéro....

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        Répondre à ce message

        • Oui, bien entendu, rien n’est parfait, d’ailleurs moi-même j’utilise une manille lyre :-)

          L’aspect « anti-mécanique » des manilles et autre maillon rapides, c’est que lorsqu’ils ne travaillent pas dans l’axe leur tenue mécanique est également plus ou moins inconnue, notamment lorsque la traction met le filetage du manillon de la manille en traction.

          La chappe a cet avantage que la section de ses bras peut être comparable à celle de la verge de l’ancre, que le moment d’inertie en flexion est plus grand que celui de la verge, et que par conséquent on peut espérer que la verge plie avant la chappe ... mais il faudrait faire l’essai pour en être certain.

          Le but premier est de quitter les émerillons tournants ou à sphère de tous poils qui ont eu diverses ruptures inopinées dans des conditions même pas dantesques ...

          Répondre à ce message

          • 26 août 2011 17:10, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

            Les fabricants sérieux donnent les valeurs CU et CR de leurs maillons : par exemple j’utilise du Peguet :

            http://www.peguet.fr/fr/produits/no...
            - Inox en 10 mm CU = 1 800 kg et CR = 9 000 kg
            - Zingué en 10 mm CU = 1 100 kg et CR = 5 500 kg
            Chaine de 8 : Cu = 1 000 kg
            Dans mon expérience, le maillon reste aligné avec la chaine dans toutes les positions de traction.

            Répondre à ce message

            • 26 août 2011 17:43, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

              Bonjour
              Une question naïve, mais pour moi c’est le besoin du jour, je reconstitue ma ligne de mouillage. J’avais dans la tête que l’acier zingué avait une résistance supérieure à l’inox. Or, les chiffres annoncés par Peguet, montrent le contraire… Quelqu’un peut me confirmer ???
              Michel

              Répondre à ce message

              • J’ai également relevé dans divers catalogues que l’inox avait une meilleure charge de travail que l’acier zingué ... à condition d’éviter l’inox « HR » de Wichard qui se fragilise en immersion permanente ... c’est Wichard lui-même qui le dit dans sa doc technique.

                La liaison proposée par Négofol me plaît bien dans la mesure où la tenue du maillon est garantie. Donc à ne pas acheter chez le schip du coin si la provenance est inconnue. Mais j’éviterais de percer un trou dans l’écrou pour bloquer la vis, car c’est ajouter une fragilité à l’endroit qui est déjà le plus fragile.

                Elle a l’avantage de bien passer sur le davier vu sa forme allongée, ce qui n’est pas toujours le cas de la manille lyre.

                Répondre à ce message

              • 26 août 2011 18:47, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                Ca dépend....de l’acier : les chaînes ordinaires sont en acier ordinaire à 37 kg dit « à ferrer les ânes » soit pour une chaine de 8 (section utile 10 mm2) une rupture vers 3200 kg.
                Une chaine en inox 316L de 8 d’un bon fabricant (Chaineries Limousines par ex) aura une CR de 5 000 kg.
                Par contre, il existe des chaines en acier à Haute résistance (dites HR) avec une CR > 8 000 kg pour une chaine de 8 en Grade 80...
                Bien lire les Specs du fabricant et ne pas acheter obligatoirement chinois...
                Les chaines sont un domaine bien normalisé et on arrive à y retouver ses petits.
                A noter que l’administration allemande déconseille les chaines inox en eau > 27°C (Caraîbes). Rien vu d’équivalent en France.

                Répondre à ce message

        • C’est GARANTI à combien de Kg ?

          Pour ma part je n’aurais AUCUNE confiance , tandis qu’avec la chappe , cela au moins est testé !
          Salut BD

          Répondre à ce message

          • 27 août 2011 19:55, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

            Moi aussi, j’aurai plutôt tendance à préférer la Chape.
            Il y quelque chose de costaud dans ce système. Simple et costaud
            La question que se pose le non spécialiste que je suis :

            Il y a peu de risque de cisaillement transversal, tant que le maillon de la chaîne peut jouer autour de l’axe. Que se passe t il si quelque chose bloque le maillon sur l’axe (caillou, oxydation, toutes les merdes du monde si on veut…). L’effort latéral risque de porter sur la goupille qui devient un prodigieux point de fragilité…
            Des avis, là-dessus ???

            Michel

            Répondre à ce message

  • 27 août 2011 18:38, par takari écrire     UP  image

    pour mon emerillon, j ai collé la vis a l epoxy............ elle ne se devissera plus jamais normalement !

    Répondre à ce message

    • 27 août 2011 18:46, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      Bonjour
      j’ai aussi pensé à l’époxy, mais l’époxy avec toutes ses qualités, a deux défauts :
      - il est cassant au choc
      - il est très sensible aux UV
      Cordialement
      Michel

      Répondre à ce message

      • 28 août 2011 09:22, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        Si on veut bloquer une vis, il y a des produits spécifiques mieux adaptés, par exemple chez Loctite. Un grade moyen suffit à mon avis et ça reste démontable. A noter que pour dévisser une vis bloquée à la Loctite ou l’époxy, il suffit de chauffer vers 200 °C (décapeur thermique).

        Répondre à ce message

  • 16 septembre 2011 07:36, par grietick écrire     UP

    J’en ai en stock. Je tenterais bien la manip mais elle est reliée à la partie basse d’un ridoir par une axe en « T » qui me semble....indémontable ! J’ai tapé dessus, réussi à la faire bouger d’un mm environ...le coup de marteau suivant a précipiter l’ensemble au fond de la mer ! ( on ne se MOQUE pas ! ) Pas grave, j’en ai une autre !

    Faut tronçonner, non ?

    Répondre à ce message

  • 23 novembre 2011 23:53, par Phil17 écrire     UP  image

    Bonjour à tous,
    Ayant acheté un bateau dont la manille reliant la chaîne à l’ancre est passablement rouillée, pour ne pas dire qu’elle s’éffrite, j’ai regardé dans les différents catalogues sans trouver cette fameuse chape à hauban qui me tente plus que les liaisons hors de prix.
    On peut-on la trouver ?

    Merci pour vos réponses
    Phil

    Répondre à ce message

  • 15 juillet 2012 12:03, par Shrubb écrire     UP  image

    Ayant lu les récits de ruptures d’émerillons dont il est question plus haut, j’ai systématiquement remplacé ces pièces sur mes bateaux successifs par une manille-lyre en galva de taille un cran au-dessus de la chaîne. Les ancres étaient toutes des Delta. Je n’ai eu aucun souci jusqu’ici.
    Sur Shrubb, acquis d’occasion avec un émerillon inox, je l’ai démonté et il s’est révélé fendu au milieu : invisible de l’extérieur. J’ai donc eu le bonheur de le remplacer par ma manille galva AVANT le gros pépin.
    C’est le problème avec l’inox, surtout immergé longtemps : ça casse sans prévenir.
    Et il est facile de remplacer une manille galva régulièrement.

    Répondre à ce message

  • 28 mai 2013 20:16, par tchavalo écrire     UP  image

    Bonjour à tous,
    après avoir lu cet excellent article et le non moins excellent bouquin dAlain Poireau sur les techniques de mouillage, j’ ai investi dans l’achat d’une chaine de 12 grade 80 afin de me faire un mouillage à toutes épreuves car j’ai des projets de mouillages sauvages dans des coins ventés.Bref, par souci de cohérence, je suis à la recherche d’une liaison chaine/ancre du même calibre.Je vais donc voir chez Acmo pour une chape avec axe de 14mm car c’est le maxi que je peux passer dans le trou du jas de l’ancre Spade...et là je m’aperçois que la charge de rupture de la chape est de 8 tonnes alors que la charge de rupture de la chaine est de 18 tonnes , soit une charge de travail de 6 tonnes.Donc ça n’est pas suffisant, il faudrait une charge de rupture de la liaison équivalente à celle de la chaine et là , je ne vois pas...

    Répondre à ce message

    • Attention à ne pas confondre « charge de rupture » (sans réel intérêt) et « charge utile » qui est la véritable caractéristique pratique pour savoir jusqu’où on peut tirer sur la chaîne sans risque.

      En effet, selon le métal, la charge utile peut être proche de la charge de rupture, ou très largement inférieure à la charge de rupture.

      Donc en comparant la chape à la chaîne, s’assurer que ce sont dans les deux cas la « charge utile ».

      Répondre à ce message

      • En effet, selon le métal, la charge utile peut être proche de la charge de rupture, ou très largement inférieure à la charge de rupture.

        C’est typique avec les manilles vendues pour le levage, où le coefficient de sécurité est de 6 : celle qui sera estampillée pour 3 tonnes, sera indiquée pour 18 tonnes dans un catalogue « plaisance »... ! ;-)

        _/)

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    • 28 mai 2013 22:49, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      Les bons fournisseurs (ex : Vigouroux) livrent leurs chaînes d’ancre en longueur de commande avec une maille élargie à chaque extrémité pour résoudre plus facilement ce genre de problème. Il faut simplement le demander à la commande.

      Répondre à ce message

    • J’ai trouvé ça sur le web.thttp://www.quickline.us/ultra-swive.... Ca semble trés costaud puisqu’on atteind pas loin de 17000 kg de charge de rupture soit , 6 tonnes de charge de travail pour le modèle prévu pour une chaine de 12, ce qui est parfait pour ma chaine grade 80.Mais, les 2 axes font 14.5 de diamètre et il faudrait un inox trés spécial genre 318NL ou 318 ti pour résister à une telle charge, or l’attestation d’éssai ne va pas au dela de 8 tonnes et elle est écrite en Turc.Cela voudrait-il dire que ce produit est d’origine turc ?

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      • 27 octobre 2013 08:18, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        elle est écrite en Turc.Cela voudrait-il dire que ce produit est d’origine turc ?

        Je reprends ce fil au vol, avec du retard… Oui ce sont des turcs, exactement, Boyut Marine

        Ils ont ici (méditerranée orientale) une excellente réputation. Or, nous sommes dans un pays ayant une très forte tradition du mouillage. Mouiller ici, est la règle.
        Par ailleurs, ils ont opté pour une ligne de produits couvrant tous les aspects du mouillage, et rien d’autre. Cet aspect traduit bien leur professionnalisme reconnu, du moins ici…
        Il ne faut pas sous-estimer les turcs sur leur aptitude à maîtriser la métallurgie… On a tendance à l’oublier, mais c’est ici, sur la plateau anatolien que la métallurgie a été inventée ; et c’était il y a plus de quatre millénaires… La tradition s’est maintenue. L’artisanat et ses principes de transmission du savoir, à toujours prospéré ici.
        Ce n’est pas un certificat de conformité, mais certainement un gage d’encouragement à aller les voir et leur poser des questions…
        Michel

        Répondre à ce message

  • 28 mai 2013 22:27, par Sergio écrire     UP

    Cette chape apporte sans doute un plus par rapport aux émerillons du commerce. Mais, comme dit plus haut, j’aurais quand même un doute sur sa résistance dans le cas de rappel violent à 90°.
    (J’ai souvenir de la verge de mon ancre de 20kg tordu dans ces conditions)

    Je crois que c’est avec la manille lyre (et son manillon arrêté) que je dormirais le mieux...

    Répondre à ce message

  • 1er juin 2013 16:56, par Koala-5 écrire     UP

    J’ai installé ce système il y a 3 ans et en suis très satisfait. Les goupilles étant remplacées par des écrous afin de pouvoir résister à la traction latérale de la chape sur l’ancre

    Les écrous sont bloqués avec de la colle époxy.

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    • Merci de ta réponse Koala 5, je vais m’orienter aussi vers cette solution qui me semble parfaitement satisfaisante en modifiant quelques poins comme l’épaisseur de la chape, le diamètre des axes et la nature de inox employé...avec ça j’arriverai à une charge de travail avant allongement et une charge de rupture en rapport avec la résistance de ma chaine.

      Répondre à ce message

      • Sur la photo de Koala 5 on voit une main de fer Wichard ... hummmm ... j’ai tordu la mienne sans beaucoup d’effort et lu bien souvent que je n’étais pas le seul. Je dirais qu’il vaut mieux limiter son usage au temps calme :-)

        Il existe un raccord bien adapté plus sûr :

        http://www.plaisance-pratique.com/I...

        http://www.plaisance-pratique.com/l...

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        • Pour la chape et les boulons, j’ai indiqué là :
          http://le.bar.du.port.xooit.fr/t870...
          où je les ai approvisionnés.

          En ce qui concerne la main de fer Wichard, j’ai lu comme toi, Robert, que beaucoup d’utilisateurs avaient eu quelques déboires avec. Mais je crois qu’ils l’utilisaient en filant suffisamment de cordage, pour donner de l’élasticité à la ligne ce qui amène le dit crochet hors du davier et lui fait donc supporter des efforts transversaux au moment des rappels.

          Ce n’est pas mon cas, car c’est toujours la chaîne qui est dans le davier, la main de fer et le cordage toujours sur le pont et tirant donc bien dans l’axe.
          Je n’ai jamais eu de problème avec depuis une dizaine d’années, même dans des mouillages très ventés.
          Cependant, lorsque ça tire vraiment fort, je rajoute un deuxième cordage, sur le taquet opposé, fixé à la chaîne par une simple manille.

          La main de fer Osculti me plaît bien, j’ai l’intention d’en approvisionner une, mais ce n’est pas encore fait.

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          • Oui, oui, la main de fer Wichard j’en ai tordu ou bloqué 2 , je connais...La solution de la chape pour la liaison chaine-ancre est la meilleure selon moi et avec l’axe fileté de Koala, c’est parfait.En ce qui me concerne ça sera du 318 L en 8mm d’épaisseur pour la chape et deux axes de 15,5 mm également en 318L...ça ira pour la grade 80.

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          • 11 juin 2013 17:43, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

            Ce n’est pas mon cas, car c’est toujours la chaîne qui est dans le davier, la main de fer et le cordage toujours sur le pont et tirant donc bien dans l’axe.

            Bonsoir
            J’étais passé trop vite sur ton post... Hé oui, si tu as un bon davier, ta solution est idéale, et ce sera mieux avec un deuxième bout à l’opposé qui mettra la chaîne dans l’axe...

            Reste le bruit du raguage de la chaîne sur le davier dans les rappels... J’ai pris l’option de deux bouts passant par les daviers, et protégés par un tuyau au passage des daviers...

            Michel

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        • 11 juin 2013 15:33, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

          Du temps du cata j’ai beaucoup pratiqué la main de fer wichard, très commode d’usage
          Beaucoup = au moins 1 remontée tordue par saison, souvent par mer pas agitée, mais fonds sans doute rocheux
          J’en ai 3 ou 4 au musée des déméritants.
          Du coup maintenant j’ai ça, et je choisis ...
          En réserve j’ai la manille kong, ma crainte pour celui là étant de ne pouvoir défaire le manillon souqué par le mouillage, mais des mouillages et des fantasmes y a du très personnel ;-)

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  • 30 juillet 2013 09:16, par tchavalo écrire     UP  image

    Bonjour à tous,
    je vous envoie pour info la liaison que m’a réalisée sur mesure Mr Gazzurelli de chez ACMO qui répond à toutes mes attentes et ceci pour un prix de 90 euros... à comparer aux prix des daubes qu’on nous vend chez les ship .
    Acier 318 L dit Duplex pour l’ensemble, flans de 8 mm
    Axes filetés, percés pour goupilles,diamètre 15 .
    Résistance à la rupture... probablement supérieure à 15 tonnes.
    Gentillesse et compétence sans supplément de prix... livrée en 4 jours.

    Merci Mr Gazzurelli

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  • 9 novembre 2018 09:10, par yoruk écrire     UP Animateur

    En référence à un fil récent sur les liasons chaîne/ancre : http://www.plaisance-pratique.com/L...

    J’ai profité d’un de mes derniers séjours en Turquie, pour acheter une liaison chaîne/ancre Ultra Marine. D’origine turque, où l’on sait depuis toujours traiter les métaux, et bénéficiant de l’expérience locale de nombreux Bateaux de plaisance, ils ont développé, et uniquement cela : une ligne de produits en acier inox destinés au mouillage : ancres, chaîne, liaisons chaîne/ancre, etc...
    Ils annoncent une charge à la rupture ébouriffante, ce que je n’ai pu vérifier, et j’en suis fort aise. C’est pas donné, mais la qualité de leur production est maintenant reconnue. Réf de ma ligne de mouillage

    • 65 m de chaîne galva 10 mm, grade 40, changée en 2015, prolongée de 15 m d’une squareline 20 mm
    • Amortisseur : 15 m en squareline 20 mm sur la chaîne principale et sur la main de fer (ce qui permet un amarrage sur les deux côtés de l’étrave, en cas extrême.
    • Ancre ROCNA galva 20 kg
    • Liaison chaîne/ancre Utra Marine 10 mm, bloquée avec un frein filet Loctite
    • Main de fer : manille de mouillage Kong 10/12 mm sur une squarline 20 mm
    • Bateau : Voyage 12.50 plus de 10 tonnes

    L’avantage de ce type de liaison, est qu’il travaille sur le plan vertical et horizontal, sans contraindre l’axe de la ligne de mouillage. Autre avantage : le retournement automatique en remontée au davier. Il faut penser à le rincer à l’eau douce, pour éviter qu’il ne se charge de boue... Et c’est tout. Nous mouillons souvent, en particulier en Grèce, et depuis 4 ans : aucun soucis. La ligne de mouillage est sorrtie de la baille de mouillage et stockée sur le pont, tous les hivers.

    https://www.ultramarinewest.com/pro...

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