Les techniques les plus courantes utilisées depuis des décennies sont de deux sortes :
Récapitulatif de ce qui existe en marine :
- Le couplage manuel entre la batterie moteur et celle dédiée à la servitude, cela fonctionne très bien à condition d’être attentif...
- Le couplage dit automatique... qui fait passer le courant débité par l’alternateur à travers des diodes, longtemps appelé pompeusement « répartiteur de charge électronique », ce qui n’est même pas une tromperie : des diodes ordinaires, c’est en effet déjà de l’électronique !
- Le problème des diodes, c’est leur chute de tension à la jonction, de l’ordre de 0,7 à 0,8 volts, ce qui fausse complètement la tension de charge de l’alternateur sauf en trichant et en faisant débiter l’alternateur à une tension plus élevée pour compenser... ce qui le met en surcharge.
- Il y a quelques années, on a développé les répartiteurs à diodes FET qui ont la particularité d’avoir une chute de tension très faible et presque négligeable, mais à un prix conséquent... et leur chute de tension n’est pas nulle, contrairement au discours marketing.
- L’inconvénient des répartiteurs à diodes obsolètes comme ceux à technologie FET est la complication de l’installation : il faut modifier l’installation d’origine en créant une ligne entre l’alternateur et le répartiteur, plus des lignes entre celui-ci et chaque batterie...
- Il y a plus simple, plus fiable et surtout moins onéreux : le relais de couplage automatique !
Le relais de couplage automatique, la meilleure solution :
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