Pratiques et Techniques en Plaisance
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La douleur chez l’enfant c’est un peu plus compliqué. Bien sûr comme chez l’adulte, il y a les moyens physiques, psychologiques et chimiques.
Pour les médicaments à proprement parler, le problème, est double : âge de maturité (cérébral, cardiaque intestinal, etc) et le poids. On ne donne pas les mêmes quantités de médicaments à un nourrisson et à une adolescente de 40 kg, ni les mêmes médicaments. Le risque c’est de donner des médicaments qui ne sont pas adapté (pour les nourrissons principalement), avec un risque de surdosage ou d’intoxication. En pratique :
C’est pareil que pour les nourrissons. La seule différence c’est qu’on peut utiliser l’ibuprofène, très pratique en sirop, la dose est de une mesure kilos toutes les 8 heures. Ca calme bien. Les contre indications sont les mêmes que pour l’adulte.
C’est la même chose : paracétamol, aspirine, ibuprofène, corticoïdes. Mais on peut commencer à donner des médicaments plus forts.
C’est la même chose que ci-dessus.
Petit cas spécial à a demande Jean-Michel et de Thierry : l’otite.
Comme pour l’article princeps, cet article ne se veut pas un livre de médecine. Ses auteurs ne peuvent pas être tenus responsables de l’utilisation qui en sera faite.
Il a été relu par Jean-Michel (médecin généraliste), Thierry (pharmacien). Merci à eux.