Très belles épreuves dans un cadre à la fois rude et superbe. Je reste étonné que le principe ne soit toujours pas appliqué en Bretagne.
A la suite de différentes traversées océaniques à l’aviron, la Fédération Française du même nom avait été sollicitée. Engoncée sur ses habitudes et techniques, la Fédération avait conclu, je cite, « il n’y a pas de plan d’eau en Bretagne » ...Quelques yoles ont vu le jour mais l’idée est de passer à la voile dès que possible.
Pour ce qui est de la « nage » basque et compte tenu du faible bras de levier de l’aviron côté rameur, le final du mouvement doit être une torture pour la colonne vertébrale et le dos en général. Traditions, traditions, mais les chaloupes des sauveteurs australiens on sensiblement les mêmes formes (pour une même mer) que les bateaux basques et les avirons ont des proportions « normales ». Si on permet le carbone, on doit pouvoir accepter des coques un peu plus larges, ne serai-ce qu’au niveau du pont.