Quand un phare est allumé, il fait partie de l’inventaire des Affaires Maritimes.
Quand il s’éteint, il revient aux Domaines et peut être vendu.

En 2000, les ministères de la culture et de l’équipement avaient commencé à établir un inventaire.
Un rapport est sorti en 2002.
Puis, plus rien.

Il y a énormément de foncier autour des phares et l’administration ne peut pas tout gérer.

Il y aurait des recherches de solution : utilisation comme base pour les scientifiques, pour les gardiens du Conservatoire du Littoral qui dispose, depuis quelques années, d’un droit de préemption sur les terrains et pourrait être le bon propriétaire public qui serait ensuite en charge d’en confier la gestion à des associations selon des critères très précis.

Si quelqu’un ici peut nous parler du sémaphore de l’île du Pilier, par exemple, pour lequel il y aurait une convention tripartite Conservatoire du Littoral / association de gestion / collectivité territoriale.