Pratiques et Techniques en Plaisance
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J’ai écrit ce papier sur mon blog juste après la création du puits de chaîne qui permet l’écoulement vertical à la remontée et l’alimentation verticale du barbotin par son dessous à la pose du mouillage.
Ce que j’ai écrit , au vu du comportement de la chaîne au sec, est un peu (mais pas trop méchamment) infléchi par les situations réelles de mouillage.
En effet, j’ai remarqué qu’après plusieurs jours au port - chaîne inutilisée (pendille ou along-side), la première pose du mouillage présente quelques difficultés de fluidité de la sortie de la chaîne du tube. Certains maillons sont comme soudés entre eux (par le sel, et/ou un début de corrosion, et peuvent soit se bloquer sous la partie inférieure du tube, soit sauter un peu sur le barbotin. J’ai même remarqué, en ouvrant la trappe d’accès, que même après une navigation quelque peu mouvementée, le cône formé par la chaîne lors de la dernière remontée, s’est figé et n’a pas réussi à s’écrouler à cause de cette gangue de sel/corrosion qui a pu se former en quelques jours. Cette « soudure » n’est pas forte, on arrive à la compromettre à la main, mais suffisante pour bloquer la chaîne ou la faire sauter.
Cette difficulté ne se présente pas si j’ai au préalable consciencieusement rincé la chaîne dans son puits au port, pas trop longtemps après la dernière remontée.