Turquie côte Carienne
Imray-Rod-Heikell / Turquie/côte Carienne/Bodrum
Edition française 2001
Edition anglaise 2013
http://www.4-oceans.com/guide-imray...
http://www.imray.com/Publications/I...
- Pas d’erreur relevée.
- Lacune de mise à jour (pour les deux éditions) :
- La version 2013 met à jour la jetée des ferries et celle des Gulets
- Tous les feux de la côte turque sont équipés de balises AtoN (transpondeurs AIS)
Approche
- Claire et sans problème
- En approchant par l’ouest, il faudra parer, les hauts fonds débordant Harem Br (Dékilitas Kayasi), bien balisés.
- L’intense circulation des petits ferries reliant Bodrum à Kos, et celle des centaines de Gulets, est à surveiller attentivement. Les passes sont étroites
Le port de Bodrum
Très encombré, mieux vaut réserver pour trouver une place. La ville est active, totalement dédiée au tourisme. On trouve trois zones dans le port
- Tout de suite à tribord en entrant, la jetée où accoste les ferries de Kos. On y trouve aussi les services de douane et d’immigration. mais, pas tous...
- Toute la partie Est, et nord, ainsi que le ponton en T, sont réservés aux gulets et aux bateaux de promenade à la journée
Les mouillages d’attente
- La petite baie sur bâbord en entrant, est un faux amis, très affectée par le trafic du port.
- Sinon :
L’île Karaadasi
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Clearance
- Bodrum est un port d’entrée. Mais, les démarches, du fait de l’éparpillement des services, y sont très malcommodes.
- A la marina, on vous demandera systématiquement le Transitlog, l’acte de francisation, la liste d’équipage et l’attestation d’assurance
Général
- Bodrum c’est l’ancienne Halicarnasse. C’est véritablement une ville de légende, bien qu’il ne reste plus grand chose de sont passé hellénistique prestigieux. Il flotte toujours ici une ambiance enchanteresse, peut être la mémoire d’Hérodote, qui y est né
- Dévorée par le tourisme, elle perd un peu de son charme en été
- Il faut visiter la forteresse, et son musé d’archéologie sous marine.
Michel Laorana septembre 2013