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Accueil du site > Forum technique > Le confort à bord -forum- > Un groupe portable pour lave linge ?

Rubrique : Le confort à bord -forum-

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Un groupe portable pour lave linge ?Version imprimable de cet article Version imprimable

Publié Mars 2013, (màj Mars 2013) par : solive  image   

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Plutôt que de compliquer un circuit électrique je me demandais si -au mouillage - l’alimentation d’un lave-linge de 1500 Watts ne serait pas plus simplement assurée par un petit groupe portable de 2000 Watts directement branché sur le circuit Quai.
J’y vois un attrait principal : ne pas compliquer le circuit existant et un deuxième attrait non négligeable : une source de backup pour recharger les batteries ou alimenter longtemps un outillage puissant sans vider les batteries par le convertisseur.
J’y vois un problème de taille au niveau de la sécurité : la mise à la terre effective d’un groupe de ce type. Je ne tiens absolument pas à ce que l’utilisateur d’un tel système se retrouve collé à son lave linge.
Je ne sais pas comment « catégoriser » un lave linge en terme de courant (inductif, ohmique, capacitaire ?)... un peu de tout j’imagine entre les semi-composants, les moteurs et la résistance de chauffage ?
D’où mes questions :
Un groupe de type inverter peut-il répondre à ce type d’utilisation ?
Quelle puissance minimum doit-il avoir ? (en continue, et pour étaler les différents démarrages des pompes et moteurs)
Comment la protection est-elle assurée en fonctionnement sous groupe portable sachant que le bateau n’utilise aujourd’hui que le secteur du quai et sa terre et qu’il n’y a pas de « mise à la mer » du circuit 220 (circuit réduit au minimum : eau chaude, chargeur et une prise), On parle de terre flottante pour certain convertisseurs, en est-il de même pour ce type de groupe ? la protection fonctionne-t-elle comme celle du quai ?
NB : un deuxième petit circuit 220 existe ( avec mise à la mer) alimenté par un gros convertisseur 2000W. Ce circuit est totalement isolé du premier. Je ne désire faire utiliser ce circuit pour des raisons de sécurité, de risque de corrosion au quai et de complication d’utilisation quotidienne. Je pense en effet que l’utilisation du lave linge au mouillage sera, si ce n’est anecdotique, au moins par « tranches de temps dédiées ».

Des expériences seraient bienvenues.

UP


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(pour répondre à un message en particulier, voir plus bas dans le fil)

40 Messages de forum

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  • 9 mars 2013 04:52, par Pil-Poil écrire     UP

    Dans cet article il y a pas mal de détails sur la question de la terre et les normes : http://www.plaisance-pratique.com/2...

    Avec un groupe branché sur la prise de quai, on est dans un cas similaire à celui du transfo d’isolement, car un groupe à inverter a un transfo d’isolement en sortie et crée une tension 230V sans phase ni neutre.

    On est donc dans le cas de la dernière figure de la conclusion : http://www.plaisance-pratique.com/I...

    Ce cas de figure indique qu’une méthode correcte est de créer un neutre en mettant l’un des conducteurs 230V à la terre. On retrouve ainsi une protection classique par le différentiel monté sur l’entrée de la prise de quai ...

    Attention : il est possible que la création du neutre soit déjà effectuée dans le groupe à inverter lui-même. C’est à vérifier : la broche de terre est alors reliée à l’une des deux broches 230V. Dans ce cas il n’y a rien d’autre à faire que de le brancher sur l’entrée du quai. Mais la terre de mer reste nécessaire.

    Savoir si un groupe 2kVA suffira pour une machine à laver de 1500W est difficile à prévoir sans tester. Car la rapidité de réaction de la protection électronique de l’inverter peut varier d’un modèle à l’autre. Mon Mitsubishi a la gâchette très sensible et disjoncte sur des pics de courant très brefs du chargeur de batterie à découpage, au point que j’ai envisagé un moment d’y ajouter des condensateurs de filtrage en sortie.

    Répondre à ce message

    • Merci, c’est très clair comme toujours. A priori je ne vais donc pas pouvoir prévoir l’installation comme je le pensais initialement.
      Question subsidiaire : Quels sont les risques à avoir un inverseur Terre de Quai - Terre de Mer ?
      Ca signifie que je raccorderais Terre de Quai et Terre de Mer de leur fournisseur de courant à travers un switch.
      I.E : je raccorde la terre du circuit utilisé à une Terre de Quai OU (exclusif) une Terre de Mer.

      Je crois que c’est hors normes, mais n’en suis pas certain car je l’ai vu sur certains bateaux (ce qui ne prouve absolument pas que le montage soit aux normes ou même fonctionnel).

      Répondre à ce message

      • La question des normes a été abordée dans l’article cité, et le switch semble en effet hors normes.

        Mais il y a plus gênant :

        • Risque d’oubli de basculer le switch qui assure la protection humaine. A titre personnel, cela me semble inacceptable, tout comme oublier de mettre une brassière la nuit pour manoeuvrer sur le pont par mauvais temps :-)
          - 
        • Comment être sûr que la terre du quai n’est pas relié à la terre de mer sans qu’on le sache (à l’insu de son plein gré ...) par un chemin détourné ? Par exemple par le chauffe eau, son serpentin eau moteur ou son circuit d’eau douce ?
          - 
          Dans ce cas, autant prévoir une liaison des deux terres bien organisée et pourvue d’un isolateur galvanique de qualité sur le jaune-vert du quai, comme dans le premier cas de la conclusion http://www.plaisance-pratique.com/I...

        Répondre à ce message

        • Oui, nous sommes d’accord et je ne peux donc recommander ce que je ne ferais pas sur mon propre bateau.
          Je vais conseiller la mise en place d’un isolateur galvanique et la liaison des terres.
          C’est sur un bateau en bois classique et le collègue danois qui en est le propriétaire est très sensible aux problèmes de corrosion, surprotection, etc... c’est pourquoi il a installé le circuit « confort » sur convertisseur totalement isolé du reste.

          L’autre point auquel nous ne pouvons répondre est la puissance minimale du groupe portable.
          J’ai peur qu’un groupe type inverter soit plus sensible (mieux contrôlé) qu’un groupe classique et qu’il faille monter en puissance pour prévenir les inconvénients que tu cites avec le tien.

          Répondre à ce message

  • 9 mars 2013 08:28, par Nevermind écrire     UP

    Bonjour,
    le problème du groupe c’est le bruit.
    j’en ai un de 3k et c’est une erreur : bruyant et lourd (26kg)
    au total je m’en sert dans un mouillage venté et là il est noyé dans le bruit du vent.
    jp

    Répondre à ce message

    • Cependant certain sont moins bruyants que d’autres car ils ont un régime RPM qui varie avec la puissance demandée, c’est le cas du mien. Je me sers du mien en le mettant dans la baille à mouillage (capot ouvert !) qui est assez profonde. Du coup on n’entend pratiquement rien à l’extérieur.

      Répondre à ce message

      • Le mien aussi a un régime qui varie, de mémoire cela doit être ce modèle ou l’équivalent :

        http://www.kipor-power.fr/index.php...

        Je n’ai jamais osé le mettre dans la pointe avant (grande comme une cabine pour une personne avec un panneau de 50x50cm), par peur du manque d’évacuation et risque d’explosion.
        JP

        Répondre à ce message

        • Je pense effectivement que c’est exactement ce type de groupe portable qui est envisagé.
          Un retour sur un fonctionnement avec un lave linge ?

          Répondre à ce message

        • 9 mars 2013 17:22, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

          manque d’évacuation et risque d’explosion

          • risque d’explosion : Robert ne dit pas s’il stocke aussi son explosif dans la baille ou s’il ne l’y transporte qu’une fois démarré (== lieu de stockage - et donc d’accumulation de vapeurs d’essence - différent)
          • manque d’évacuation : si ça concerne l’arrivé d’air le pire qui puisse t’arriver serait de voir le moteur peiner et/ou s’arrêter par manque de comburant ... mais trappe d’accès ouverte ?. Si ça concerne l’évacuation des gaz, le risque de fondre ton beau cata te fera sans doute pencher pour un détecteur de CO2 (et CO ? dans la fouée ?)

          Répondre à ce message

          • A quoi me servirait un détecteur de CO2 car la pointe avant et isolée du reste.
            Le tien n’était pas comme ça ?
            En laissant la trappe grande ouverte cad à plat pont cela devrait faire aspirateur d’air.
            jp

            j’ai bien un détecteur mais pour le gaz.

            Répondre à ce message

            • 9 mars 2013 17:54, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

              Le détecteur de CO2 pour un effet de bord : sonne si trop de gaz d’échappements et pour pas cher du tout, et en mettre partout ne tue pas (dans les cales moteur aussi).
              Capot ouvert me parait amplement suffisant, mais avec alarme de température ;-)

              Mon coqueron était effectivement isolé du reste et baptisé « crash box », ces nouilles de chez catana l’ont ensuite doté d’un plancher inamovible à mi-hauteur (réserve de flottabilité pour compenser l’adjonction de chrome ?) histoire de perdre l’espace de stockage des voiles à l’hivernage.

              Répondre à ce message

              • Le crashbox est relativement réduit (voir réparation d’étrave), c’est une cabine simple pour non claustro avec plancher amovible et éclairage.
                Je n’ai aucune idée du type d’appareil de T° il faut et quel est le seuil d’alarme dans ces conditions ?
                jp

                le plan est pris sur le net

                PNG

                Répondre à ce message

                • 10 mars 2013 08:07, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                  En lisant vos échanges, il me vient à l’esprit une autre crainte : le compartiment concerné est mal aéré et assez bien isolé ;
                  Un groupe électrogène de 2 kW dégage, à sa puissance nominale, 4 à 5 kW sous forme thermique (air de refroidissement + température des gaz d’échappement).
                  Je ne vois pas comment la température ambiante du compartiment ne va pas monter très vite à des niveaux dangereux pouvant provoquer l’explosion du réservoir du groupe. Le manque d’oxygène provoquant l’arrêt du groupe serait dans ce cas une bénédiction. Le cas d’une baille à mouillage ouverte est très différent car bien aérée.
                  Ca me parait une très mauvaise idée

                  Répondre à ce message

                  • 10 mars 2013 08:15, par Pil-Poil écrire     UP     Ce message répond à ...

                    C’est vrai que ça chauffe ! Dans la baille à mouillage, le haut du groupe est tout juste à fleur au niveau du pont, et avec le soleil qui tape dessus, il devient très chaud.

                    Répondre à ce message

                    • 10 mars 2013 08:24, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                      ici, en Méditerranée orientale, ou nous croisons beaucoup de bateaux ayant à régler ce genre de problème, les groupes de production d’appoint ont tous été abandonnés : trop bruyants, trop lourds, trop polluant, trop gourmands et... capricieux.
                      Ils s’équipent soit d’un groupe diesel autonome encoconné, soit s’organisent pour faire tourner leur machine à un ponton équipé de 230...
                      Il est vrai que ce sont souvent des bateaux dont la taille le permet (sup à 40 pieds)
                      Michel

                      Répondre à ce message

                      • 10 mars 2013 08:41, par Pil-Poil écrire     UP     Ce message répond à ...

                        trop polluant, trop gourmands et... capricieux.

                        Les groupes portables ont beaucoup d’inconvénients, mais ces 3 défauts là me semblent supportables :

                        Les bons sont des 4 temps à inverter, donc pas particulièrement polluants ou gourmands (0.5l/h). Les capricieux dont j’ai entendu parler sont les fabrications à bas coût, copies conformes ou clones médiocres des bons modèles . Les Kippor avaient cette mauvaise réputation justifiée, mais je ne sais pas si c’est encore le cas.

                        Mon Mitsubishi 1kVA (MGC-1101) démarre au premier (ou second !) coup de ficelle même après avoir hiverné durant 6 mois et sans même nettoyer la bougie :-)

                        Et la tension de sortie est un « sinus » parfait ...

                        Mais il a un inconvénient : il m’a coûté 1000€ (même prix que les Honda Eu10i) et non pas 300 ou 400€ :-/

                        Répondre à ce message

                        • 10 mars 2013 08:57, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                          Quand je disais polluant, je pensais aux odeurs...
                          C’est vrai que la consommation des groupes 4 temps à diminué... mais quand même, le retour sur investissement entre la machine à laver et le groupe doit tourner autour 250 lessives... sans compter la maintenance...
                          Mais, j’insiste, je raisonne pour une région où l’ensoleillement permet de trouver des solutions alternatives satisfaisantes pour les autres besoins électriques...B-)
                          Michel

                          Répondre à ce message

                          • Oui c’est un argument que j’avais apporté.
                            Les navigations envisagées étant un tour du monde -départ fin 2015 avec l’ARC déjà pré-réservé !;-) - la solution semblait reposer sur la multifonctionnalité du groupe électrogène et non uniquement sur l’utilisation avec le lave-linge.
                            Pour avoir personnellement totalement inutilisé un petit groupe portable Honda de 1000 W pendant mon périple en solitaire, je ne pense pas que la solution soit réaliste (l’utilisation prévue semble toujours très surestimée).
                            Mon premier réflexe a été de parler de groupe in board, mais le bateaun’a ni la place, ni l’accès suffisant (Ketch Colin Archer de 14m au pont quand même) !

                            Répondre à ce message

                    • 10 mars 2013 12:05, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                      Et où stockes-tu le moteur à explosion lorsque tu ne l’utilise pas ?
                      Mon soucis porte sur la prévention des explosions dues aux vapeurs d’essence, et un moteur à ce prix on ne le stocke pas toute la saison en plein air sur le pont, n’est-ce pas ?

                      Répondre à ce message

                      • 10 mars 2013 12:13, par Pil-Poil écrire     UP     Ce message répond à ...

                        Dans un coffre extérieur, le même que le gaz. Et dans ma cave le plus souvent où je n’ai jamais senti ma moindre odeur d’essence...

                        Répondre à ce message

                      • 10 mars 2013 12:34, par tilikum écrire     UP     Ce message répond à ...

                        Avant d’avoir mon groupe électrogène diesel fixe de fabrication maison, j’utilisais un groupe à essence Honda de 1,7 Kva.

                        Il était installé dans un coffre en contreplaqué sur le pont à l’arrière du bateau. Ce coffre était chicané et doté de deux gros ventilateurs, c’était relativement silencieux.

                        Une astuce pour réduire le bruit d’échappement : un embout d’échappement de moteur VW (coccinelle).

                        Je faisait tourner les ventilos une minute avant de démarrer, et cinq minutes après l’arrêt moteur.

                        _/)

                        Répondre à ce message

                        • 10 mars 2013 14:46, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                          méfiance bien sur, ça saute très haut un bateau qui explose sur vapeurs d’essence et ensuite ça brule jusqu’à plus possible (== coulé), quand aux passagers ...

                          Donc ventilateur anti-déflagrant ou alors stockage et utilisation ventilée dans des lieux séparés
                          Bien évidemment il n’y a jamais d’émanation car jamais de fuite, quoique ...

                          Répondre à ce message

                  • 10 mars 2013 08:55, par Nevermind écrire     UP     Ce message répond à ...

                    En mettant un ventilateur, branché sur la sortie 12v du groupe, on résoud le problème de renouvellement d’air.
                    jp

                    Répondre à ce message

  • 26 mars 2013 11:02, par solive écrire     UP  image

    Bon, c’est loin d’être simple avec Thomas qui semble être un perfectionniste acharné. La solution de l’isolateur galvanique ne lui plait qu’à moitié, mais au moins, il est maintenant certain que la solution du groupe ne peut pas fonctionner comme il l’envisageait. Bref, comme il a un autre problème, il reviendra sur celui-ci ensuite.
    Je vous parle de l’autre problème sur un fil différent car ça concerne son frigo.
    Merci pour les réponses qui lui ont permis de comprendre que sa solution initiale (des circuits différents) n’était peurt être pas aussi « parfaite » qu’il me le décrivait.

    Répondre à ce message

  • Bonjour,
    Après énième lectures des articles déjà référencés dans ce fil, je reviens vers vous pour m’assurer que je ne dirais pas de bêtise à Thomas et ne provoquerais pas de possibilité d’accident.
    1- Un isolateur galvanique permet de s’affranchir de la majorité des problèmes de corrosions ET de protection des personnes en reliant la terre du quai et la terre de mer.
    2 - Aujourd’hui, les deux systèmes totalement séparés - chargeur et chauffe-eau alimentés par le quai d’une part et prises de consommations du bord alimentées par le convertisseur d’autre part - peuvent être reliés par un switch bipolaire pour la phase et le neutre et un isolateur galvanique pour la (les) terre(s). Ceci permettra un branchement du lave-linge sur une prise du bord (alimentée soit par le convertisseur, soit par le quai selon la position du switch) avec un retour à la terre cohérent : terre de quai si la prise de quai est branchée (et que c’est le « retour le plus facile ») ou terre de mer au mouillage (ou si c’est le « retour le plus facile » avec prise quai branchée). Dernier point sur le « retour le plus facile » à confirmer d’ailleurs car ma compréhension de ce genre de problème reste très simpliste.
    3 - Le fonctionnement sur groupe électrogène (la question initiale;-) ) peut s’envisager si le groupe permet une mise à la terre ( gestion phase flottante) définissant ainsi une phase et neutre bloqués. Il faut alors faire attention aux inversions phase et neutre lors de la réalisation du cordon. Le groupe portable sera branché sur la prise de quai. La protection de la personne sera alors assurée par la terre de mer reliée à la terre de quai par l’intermédiaire de l’isolateur galvanique. Précision supplémentaire à confirmer : dans ce dernier cas, en cas de fuite de courant, le fonctionnement du différentiel est garanti puisque le courant de fuite peut s’évacuer par la terre et que le différentiel pourra « noter » la différence de courant et réagir en conséquence (en tous cas c’est ce que j’ai compris.... mais j’ai besoin d’être rassuré sur ce point).

    - 4 : le choix du groupe doit permettre que les sécurités ne se déclenchent pas trop tôt et une puissance de 2000W semble, suivant la marque, ne pas garantir cette nécessité. Un type inverter est aujourd’hui préférble à tout autre type pour ce genre d’application. Une puissance de 2500W serait préférable.

    J’arrêterais de vous embêter avec ça ensuite et vous tiendrais informés de la décision que prendra Thomas (intéressant de voir la différence de perception, même chez les européens, selon les éducations, les préjugés,...) et éventuellement des problèmes de réalisation. Peut être faudra-t-il alors ouvrir un sujet dans « mes projets » ?

    Répondre à ce message

    • Dans la vie terrienne, dès qu’on une installation secourue (par un groupe) il y une fonction primordiale et incontournable :
      L’interrupteur normal/secours

      Les histoires de terre et de neutre sont relativement simples à résoudre.
      En contrepartie si on raccorde un générateur à un circuit susceptible d’être raccordé à un réseau extérieur, il faut en priorité s’assurer de ne pas envoyer de courant dans ce réseau.

      Le pire des cas : un agent EDF coupe les alimentations 20000volt d’un transfo pour une réparation.
      La borne de quai n’est plus alimentée mais le bateau reste raccordé à cette borne.
      Le plaisancier qui n’aime pas les odeurs de chaussettes sales décide de faire une lessive en dépit de l’absence de courant sur la borne quai.
      Il démarre son groupe ou pire le groupe démarre tout seul.
      L’agent EDF ou l’ouvrier d’entretien du port partent au plafond carbonisés.
      Le réseau qu’ils pensaient avoir coupé est realimenté. Aux bornes du transformateur 20000/250volt on retrouve 20000volt .

      Il faut donc commencer par installer un système à relais temporisés qui évite d’alimenter le réseau avant le démarrage du groupe.

      Les laveuses de ma jeunesse n’avaient pas ce genre de problème :
      elles brossaient, tordaient, rincaient, battaient

      Pour faire une lessive, il faut de l’eau douce.
      Pour avoir de l’eau douce faut un tuyau.
      Si on peut brancher le tuyau, on peut aussi brancher un fil.
      Alors où est le problème ?

      Un sac à linge sale et quelques paires de chaussettes supplémentaires coûteront beaucoup moins cher et occuperont moins de place ;-) ..

      .

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      • Le pire des cas : un agent EDF coupe les alimentations 20000volt d’un transfo pour une réparation.
        La borne de quai n’est plus alimentée mais le bateau reste raccordé à cette borne.
        Le plaisancier qui n’aime pas les odeurs de chaussettes sales décide de faire une lessive en dépit de l’absence de courant sur la borne quai.
        Il démarre son groupe ou pire le groupe démarre tout seul.
        L’agent EDF ou l’ouvrier d’entretien du port partent au plafond carbonisés.
        Le réseau qu’ils pensaient avoir coupé est realimenté. Aux bornes du transformateur 20000/250volt on retrouve 20000volt .

        Eh bé ! Ça, c’est le scénario catastrophe statistiquement improbable, sauf en ayant affaire à un vrai cinglé !

        D’accord avec le danger d’alimenter le réseau 230 volts à partir d’un GE embarqué, sauf que ledit GE sera probablement incapable d’alimenter tout le ponton... il va instantanément disjoncter !

        Quand à alimenter le transfo 22000 volts / 400 volts triphasé de la marina par une prise 230 volts monophasée d’un bateau utilisant un GE... les pros d’EDF et des marinas sont en principe assez compétents pour s’abriter de ce genre de problème ! :’-))

        Synchroniser un GE avec un réseau, tout comme entre deux GE exige des procédures pas très compliquées mais extrêmement précises pour ne pas se prendre le matériel dans la tronche ! |-)

        Il faut donc commencer par installer un système à relais temporisés qui évite d’alimenter le réseau avant le démarrage du groupe.

        Non ! Il y a plus simple et classique : un inverseur de source ! :o)

        _/)

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        • Oui, ce scénario est d’autant plus improbable que dans le cas qui nous intéresse le groupe portable sera branché physiquement sur la prise de quai du bateau, interdisant de ce fait d’alimenter le quai par le cordon habituel et réciproquement. Ce cas ne pourrait devenir probable que si un groupe à poste fixe était installé, mais dans ce cas pas de lave-linge (il est là le problème de place pas avec les tuyaux).
          Le switch Prise de quai / Convertisseur devrait donc suffire pour protéger tout le monde de ce type d’accident.
          Je suis plus préoccupé par ma compréhension (et la façon dont je vais devoir l’expliquer) du fonctionnement de(s) terre(s). Je vois ça exactement comme les théories sur la foudre et le passage électrique le plus « conducteur » ( et pas forcement le plus proche quand par exemple « guidé » grâce à une tresse). Or c’est certainement plus complexe que ça avec les histoires de phase flottante. Et là, je raisonne comme pour le transformateur d’isolation ou le convertisseur en argumentant que la connexion de la terre à un des fils le transforme en neutre.... pas très joli hein, on sent bien que je n’ai pas tout assimilé.

          Quant à embarquer plus de paires de chaussettes, ce n’est ni moi, ni Thomas qu’il faut convaincre.... mais sa femme. Je lui déjà dit qu’il avait deux autres options : changer de bateau ou changer de femme, mais il n’apprécie pas vraiment ce genre d’humour.

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  • Je viens de revoir Thomas.
    Après avoir installé un isolateur galvanique, il a finalement acheté un lave linge de 3,5Kg (question de taille).
    Il a pu faire des essais de consommation qu’il m’a résumé hier soir :
    Pour ces tests il emploi le programme le plus simple (celui qui doit lui servir le plus souvent) : pas d’eau chaude, une trentaine de minutes etun essorage à 1000rpms.
    Les consos :
    eau : jamais plus de 16 litres
    conso d’électricité fournie à travers convertisseur 12/220 : 6,5 Ah !! batteries chargées à fond.
    max conso instantanée : 45 Amps au démarrage de l’essorage durant quelques secondes (très peu), sinon entre 15 à 18 Amps durant l’essorage.

    Bien sur c’est du bouche à oreille (direct puisque je suis le seul intermédiaire) mais je crois que ces infos valent le coup d’être diffusées pour ceux qui se posent encore la question.

    Les conclusions de Thomas :
    - Un groupe de 2000W suffira amplement.En triplant les 45 Amps max on arrive à 1800Watts en tenant compte des rendements.Le test a été fait avec un convertisseur. Comme les lavages au mouillage seront exceptionnels et sur des programmes peu gourmands, il va embarquer un groupe 2000W puisqu’avec l’isolateur galvanique, il semble être totalement rassuré (!?).

    Mes conclusions :
    - Ca me semble vraiment très peu (en tous cas les 6ah me semblent sous-estimées), mais si c’est ça, je vais tout de suite prévoir une place pur le lave-linge dans mon futur bateau.

    Je profite du voyage pour faire un (petit) tour de bateau. En attendant que mon prochain contrat me ramène par ici B-)

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    • Les chiffres ne m’étonnent pas :

      6.5Ah pour une consommation qui dure environ 1/2 heure, cela correspond à un courant moyen de 13A durant les 30 minutes.

      Si le cycle de lavage est sans chauffage, il consomme très peu, puisque la rotation est lente, avec beaucoup de pauses Donc si l’essorage est à 15-18A de courant moyen, le lavage sera à beaucoup moins que cela de courant moyen.

      En gros, ça colle , et la clé c’est l’absence de chauffage ... et la non-prise en compte de l’éventuel « dessal » qui pour refaire les 16l d’eau aura besoin de 16Ah environ !

      Un lave linge domestique consomme environ 1kWh (80Ah/12V) par cycle de 1 à 2 heures de lavage de 6-7kg de linge, dont la moitié pour chauffer l’eau selon les documentations. Cela fait donc 0.5 kWh en eau froide pour 1 à 2 heures de lavage soit 0.25 à 0.12 kWh pour 1/2 heure de lavage de 6-7kg. Pour 3 kg on aurait donc 0.12 à 0.06 kWh

      En 12V, cela ferait 5 à 10Ah . L’ordre de grandeur est bien le même que celui mesuré pour ce petit lave linge.

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      • 10 août 2013 15:51, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        Il est à noter que les usages diffèrent suivant les continents : aux USA, les machines à laver ont un double branchement : eau chaude et eau froide, ce qui évite le chauffage électrique.
        Il existe un (petit) fabricant qui produit des machines de conception et taille similaires à nos machines courantes de 6kg de capacité, mais fonctionnant suivant ce principe, qui sont assez répandues chez les utilisateurs US de systèmes solaires : Staber Industries.

        Les valeurs indiquées sont, pour un cycle :

        • consommation électrique : 110 à 150 Wh suivant programme (essorage inclus)
        • consommation d’eau 60 l dont 20 l d’eau chaude
        • fonctionne avec onduleur 1 500 W

        Solution astucieuse, il y aurait des machines similaires (?) sur le marché européen :
        http://www.bio-etc.fr/les-lave-ling...

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        • 10 août 2013 17:01, par tilikum écrire     UP     Ce message répond à ...

          Impressionnante la Staber, surtout en consommation d’eau !

          Sinon, à propos du chauffage de l’eau j’ai eu l’occasion de réparer une machine à laver Arthur Martin il y a plus de trente ans qui avait une particularité : l’eau était chauffée au gaz ! :-O

          _/)

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          • 10 août 2013 17:19, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

            J’ai connu ça aussi à la campagne dans les années 60... marque Flandria si je me souviens bien, avec un thermostat qui coupait le butane quand la bonne température était atteinte...

            Google est votre ami :

            JPEG

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          • 11 août 2013 15:39, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

            Je reviens sur ce problème de machine à laver à double branchement eau chaude-eau froide que j’avais vue aux US.
            J’ai eu par hasard l’occasion d’en parler hier soir avec un ancien du domaine qui m’a signalé que le simple branchement était une spécificité française, les machines à double branchement se trouvant couramment ailleurs en Europe, notamment en Allemagne où elles sont en particulier populaires chez les « zécolos ». Il y aurait eu plusieurs essais d’introduction en France sans aucun succès, du fait d’un problème culturel : il semblerait ancré dans l’esprit français qu’une lessive débute par un trempage à l’eau froide pour ne pas « cuire » les taches (je n’étais pas au courant…) et aussi du fait de nos normes bâtiment qui ne prévoient pas le double branchement pour les machines à laver.
            J’ai jeté un coup d’œil sur Internet et, effectivement, toutes les marques allemandes courantes (Bosch, Miele, Siemens, etc…) ont ce type de machine à leur catalogue allemand, mais ces machines sont absentes du catalogue français des mêmes fabricants… Différence de prix : qq dizaines d’euros.

            Une fiche de caractéristiques lue au hasard donne une consommation de 450 Wh pour une lessive standard à 40 °C en double alimentation et 1 100 Wh pour une alimentation eau froide, pour une machine classique 7 kg à hublot.
            En y regardant de plus près, la consommation est donnée pour 60 l d’eau. En supposant 1 lavage et 2 rinçages, on consommerait 20 l d’eau pour le lavage.
            Il faut donc chauffer 20 l d’eau de 15° à 40°C soit 25°C.
            Il faut donc pour celà : 25 x 20 = 500 kcal = 2093 kJ = 581 Wh (hors pertes diverses)
            Conclusion :
            • Les lois de la physique sont vérifiées,
            • 60 % de l’énergie consommée par une de nos machines ne sert qu’à chauffer l’eau.

            On peut noter qu’une lessive/rinçage/essorage avec cette grosse machine standard va consommer 450 Wh, soit environ 40 Ah en 12 V, ce qui n’est pas monstrueux après tout.
            Et avec un double branchement sur le chauffe-eau du bord, si on utilise le moteur pour recharger les batteries, on a une machine à laver fonctionnant en cogénération, écologiquement correcte en plus !
            Si vous voulez creuser le sujet, il suffit de faire une recherche Google avec « waschmaschine mit warmwasseranschluss »

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            • 11 août 2013 16:00, par tilikum écrire     UP     Ce message répond à ...

              Il faut donc chauffer 20 l d’eau de 15° à 40°C soit 25°C.
              Il faut donc pour celà : 25 x 20 = 500 kcal = 2093 kJ = 581 Wh (hors pertes diverses)
              Conclusion :
              • Les lois de la physique sont vérifiées,
              • 60 % de l’énergie consommée par une de nos machines ne sert qu’à chauffer l’eau.

              Hum... dans une habitation standard, l’eau chaude sanitaire ne vient-elle pas d’un... chauffe-eau le plus souvent électrique ? ;-)

              _/)

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              • 11 août 2013 16:08, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                En Allemagne lez « zécolos » ont en général des chauffe-eau solaires ou des chaudières à bois (granulés), d’où la vogue de ces machines...

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                • 11 août 2013 16:52, par tilikum écrire     UP     Ce message répond à ...

                  Je sais bien, ce n’était qu’un clin d’œil ! ;-)

                  Dans mon coin, où les chauffe-eau solaires sont encore trop rares, (les électriques sont bien moins chers... ) les techniciens ne branchent même pas la résistance électrique d’appoint tellement ça fonctionne bien.

                  Par contre, un chauffe-eau électrique est particulièrement utile dans les pays très chauds, pour avoir de l’eau froide !

                  J’explique : au Kuwait, on avait des appartements dans des petits immeubles où l’eau était stockée dans des réservoirs sur le toit, donc en été, on avait l’eau chaude au robinet bleu, et l’eau froide au robinet rouge, le chauffe eau éteint étant dans l’appartement climatisé ! :o)

                  Même principe en Irak où au début du chantier on était logés dans des « P16 » (16 piaules, 4 toilettes, 4 douches et un chauffe-eau) et c’était à 50 km du chantier.

                  A la débauche, on sautait tous dans nos pick-up direction la base vie à 160 km/heure pour arriver dans les premiers à la douche... pour l’eau froide du chauffe-eau, les tuyauteries étant enterrées sous dix cm de sable, l’eau supposée froide était bouillante ! :-O


                  Pour revenir aux machines à double branchement, je ne sais pas si cette histoire de « cuire les saletés » est avérée ou non, mais rien n’empêche de faire le prélavage à l’eau froide, puisque on utilise des électrovannes ! :-P

                  _/)

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                  • 11 août 2013 17:07, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                    Dans la même veine, j’ai vécu à Yuma, dans l’Arizona, tout au sud près de la frontière mexicaine.
                    Nous étions logés dans un très bel hotel, évidemment avec piscine.
                    A mon arrivée, en février, il faisait un agréable 28 °C l’après-midi (la nuit était beaucoup plus froide).
                    Derrière la piscine, il y avait une importante machinerie dont je ne saisissais pas l’utilité...
                    Le propriétaire de l’hotel m’a expliqué que c’était une pompe à chaleur pour la piscine. Comme je m’étonnais d’une telle machinerie pour chauffer la piscine, il m’a dit : mais non, pas du tout c’est pour la refroidir en été !
                    Il est vrai,que l’été suivant, on a eu plusieurs fois plus de 50°C....

                    Répondre à ce message

                    • 11 août 2013 19:05, par tilikum écrire     UP     Ce message répond à ...

                      50°C en Arizona... ça doit être supportable car très sec non ?

                      Pour ma part j’ai vécu dans des endroits aussi chauds mais secs, (Sahara et Irak) et la parade pour ne pas transpirer est simple : partant du principe qu’on s’isole du chaud comme du froid je m’habillais comme en hiver dans le grand Nord ! ;-)

                      J’ai des photos où l’on ne voit de moi que le bout de mes doigts et mes lunettes de soleil, même pas le bout de mon nez ! B-)

                      La maîtrise du « chèche », sorte de turban touareg fait d’un foulard pouvant aller jusqu’à 18 mètres de long permet de se protéger la tête du soleil, du vent et du sable, du chaud et du froid, ceux qui l’ont pratiqué ne peuvent plus s’en passer ! :-)

                      Le refroidissement des piscines est courant dans mon coin, j’ai déjà réalisé des refroidissement d’eau pour la pisciculture, le stockage et la vente des langoustes et des langoustines, bien plus calmes dans de l’eau à 18°C qu’à 25 ou 30°C !

                      _/)

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                      • 11 août 2013 19:18, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

                        Le climat de Yuma est effectivement très sec : un souvenir qui m’est resté : après avoir trempé dans la piscine rafraichie, en sortant de l’eau, on claquait des dents et le temps d’arriver au transat, on était complètement secs !
                        C’est notamment la base de formation des pilotes des Marines car il n’ y a que deux heures de conditons vol aux instruments par an (pendant des orages.. ;).

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