image
image
image

Votre IP : 3.147.104.120
Dernier ajout : 19 avril
Visiteurs connectés : 25

image Conception
Développé sous SPIP
Informations légales

image
image
Recherche image

Pratiques et Techniques de la Plaisance

image

Accueil du site > Articles > Entretenir le bateau > Divers > Point de rosée dans le bateau

Rubrique : Divers

__________________________________________________________________________________________________________________

Point de rosée dans le bateauVersion imprimable de cet article Version imprimable

Publié Mars 2013, (màj Mars 2013) par : yvesD   

Copyright : Les articles sont la propriété de leurs auteurs et ne peuvent pas être reproduits en partie ou totalité sans leur accord
S'identifier pour s'abonner par mail Inscrit aux forum vous pourriez transmettre cette page à un ami plaisancier

Comment savoir si le point de rosée a souvent été atteint dans le bateau durant son hivernage ?

Le bon état du matériel à bord en dépend fortement ...

Télécharger ce document, taille 84.9 ko Document (PDF – 84.9 ko)

Il y a 1 documents disponibles.


1  
84.9 ko  
point_de_rose_.pdf
UP


Répondre à cet article
(pour répondre à un message en particulier, voir plus bas dans le fil)

18 Messages de forum

__________________________________________________________________________________________________________________

__________________________________________________________________________________________________________________

  • 31 mars 2013 09:04, par yoruk écrire     UP Animateur

    Super...
    Il y a aussi ceci : voir la copie d’écran zyGrib

    JPEG

    Répondre à ce message

    • 31 mars 2013 11:00, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      En effet, c’est la même température mais dans ton cas précis, c’est la température du point de rosé là ou est ton curseur et pour le jour et heure de ton fichier grib.
      L’horrible programme excel le calcule, lui, sur des données archivées par un (mauvais) datalogger.

      Negofol me signale que le datalogger Lascar EL-USB-2 est livré avec un programme de calcul du point de rosée, ce qui n’est pas le cas de mon (mauvais) CEM

      Répondre à ce message

      • 31 mars 2013 11:06, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        Non, non... il n’y avait aucune critique dans mon post. Juste un clin d’œil

        • zyGrib et son affichage sont d’actualité en ce moment, et je me trouve à la pointe du combat !!!
        • Je carène dans dix jours, et le calcul point de rosé est important !!! C’est du ponctuel au jour le jour, et là c’est bien pratique

        Ce sont en fait deux approches... complémentaires
        A+ Michel

        Répondre à ce message

        • 31 mars 2013 11:13, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

          Juste un clin d’œil

          C’était comme ça que je l’avais pris

          Il reste que j’aurai du mentionner cette application du calcul du point de rosé vitale pour le marin (carénage, epoxy), au moins aussi utile que la préparation de traversée du delta du Rhone
          Mais le clin d’oeil ne s’appliquait pas à ça, ouff ;-)

          Répondre à ce message

  • 31 mars 2013 11:05, par yvesD écrire     UP Animateur

    Pour des TP, l’archive zip jointe comporte un fichier excel et le pdf image des deux feuilles du fichier excel.
    La première feuille données est composée des données brutes de fonderie issu du datalogger CEM, avec le point décimal comme séparateur
    La seconde feuille résultat rectifie ce séparateur et ajoute les formules à appliquer : voir dans le cartouche rouge ce qu’il faut faire, y compris recopier ce qui est dans le sous-cartouche vert.

    Répondre à ce message

  • 31 mars 2013 11:38, par Nevermind écrire     UP

    A quoi sert le point de rosée pour le carénage, je me suis jamais occupé de ça.
    JP

    Répondre à ce message

    • 31 mars 2013 11:45, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      A quoi sert le point de rosée pour le carénage,

      Bon...
      J’ai toujours peint une primaire et deux couches d’antifouling, plus une troisième sur les zones à fortes salissures ; avec une carène archi-sèche, et toujours à l’ombre...
      Mais ce doit être mon perfectionnisme exacerbé !!!

      Autre chose : noire la couleur... toujours noire
      Michel

      Répondre à ce message

      • 31 mars 2013 12:52, par Nevermind écrire     UP     Ce message répond à ...

        Attention je vais choquer :

        je ne tiens pas compte du point de rosée
        un coup de karcher sur les coques qui ne sont jamais sales (environ 2000 milles par an)
        une seule couche d’antifouling semi érodable de marque “connue”
        pour le soleil : les coques extérieures au soleil, les intérieures à l’ombre.

        Avant je mettais deux couches, quand je vois tout ce qui part avec le karcher, je vois les billets au sol !

        48h en tout.

        Mais je ne suis pas perfectionniste !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

        Répondre à ce message

    • 31 mars 2013 12:28, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      Si la température de la surface à peindre est inférieure au point de rosée, le risque est de voir de l’eau condenser sur la surface et ne pas faire bon ménage avec la peinture.
      Attention : il s’agit bien de la température de surface : c’est la raison qui fait que les voitures (froides) sont mouillées le matin alors que le sol est sec....

      Un problème supplémentaire peut venir du refroidissement lié à l’évaporation des solvants, surtout pour les colles qui contiennent des solvants très volatils, problème classique des collages qui peut aller jusqu’à un givrage local (« gelée blanche » liée à la congélation de l’humidité de l’air).

      C’est la raison qui pousse tous les industriels sérieux à munir leurs ateliers de collage ou de stratification de systèmes de contrôle de l’hygrométrie pour amener le point de rosée à une valeur assez haute pour ne pas avoir de risques.

      Répondre à ce message

      • 31 mars 2013 12:48, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        pour amener le point de rosée à une valeur assez haute pour ne pas avoir de risques.

        Je comprend bien leur soucis mais ne suis pas sur que comprendre le procédé :
        — assécher l’air ambiant diminuera la température du point de rosée (t - td plus grand) mais le moindre emprunt de chaleur (évaporation du solvant) fera baisser considérablement la température ambiante (la nuit au Sahara, air avec très peu d’inertie thermique)
        — humidifier l’air ambiant augmentera la température du point de rosée, la rapprochera (dangereusement ?) de la température ambiante mais cet air sera à même de fournir les calories absorbées par l’évaporation des solvants sans baisse notable de la température (on arrose les vignes aux petits matins de printemps si risque de gelée blanche)

        En pratique, ils font comment ?

        Répondre à ce message

        • 1er avril 2013 08:41, par Négofol écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

          Dans les ateliers de collage ou stratification on utilise des déshumidificateurs à condensation (marque souvent employée : Dantherm) pour amener le point de rosée à une valeur acceptable.

          Pour avoir largement donné professionnellement, j’ai pu mesurer un fait étonnant : la baisse de l’hygrométrie liée à des déshumidificateurs se propage dans le volume aussi bien sinon mieux que les variations de température quand on chauffe, de sorte qu’un refroidissement local n’entraîne pas de condensation.

          J’ai mesuré et documenté ce phénomène dans mon appartement de bord de mer, maintenu « au sec » par un seul déshumidificateur Dantherm pour 180 m2, portes de communication simplement ouvertes.

          Répondre à ce message

      • 31 mars 2013 13:40, par yoruk écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

        Les conditions de stratification
        Pas d’atelier en hygrométrie contrôlée, ici, en Turquie profonde... On a adopté une solution de prudence, on ne travaille jamais avec une température inférieure à 18°c et un taux d’humidité relative supérieur à 60%
        J’ai vu par contre, à l’opposé et notamment avec du vent sec, les peintures bi composant époxy prendre sur le pinceau !!!
        Michel

        Répondre à ce message

    • 31 mars 2013 12:34, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      OH, tu quoque
      RTFM ;-)

      Les notices (non, ça ne sert pas qu’à essuyer les pinceaux) précisent souvent une hygrométrie max à respecter quelques heures après application ou aussi pendant l’application (cf PJ pour un antifouling Hempel). Et en tout cas 100% de Hr (== point de rosée) ça te boute hors de l’épure.
      Mais bon, caréner sous la pluie se pratique aussi, on a souvent pas le choix même si le résultat peut être à la hauteur.

      JPEG

      Répondre à ce message

  • 31 mars 2013 20:42, par Alien écrire     UP  image

    Quel est l’intérêt de mesurer la température et l’humidité relative pour simplement les enregistrer, sans action immédiate ?

    D’autant plus qu’il y a des effets de parois froides qui peuvent entraîner des condensations alors que l’atmosphère est en dessous du point de rosée.
    Les faces nord sont souvent verglacées !

    Sur un de mes précédents bateaux en bois moulé et contreplaqué, hiverné pendant des années au même emplacement et dans le même sens, Le pontage tribord (à l’ombre) a pourri deux fois plus vite que le reste. Il m’est arrivé de cueillir des vrais champignons sous les passavants après six mois d’absence.

    Le contrôle de l’hygrométrie est un vrai casse tête.
    (j’ai donné dans une autre vie)

    La seule solution économique (en dehors du renouvellement d’air des manuels) est le chauffage. Mais qui va prendre le risque de laisser un chauffage en fonctionnement dans un bateau en hivernage ?

    Répondre à ce message

    • 31 mars 2013 22:21, par yvesD écrire     UP     Ce message répond à ... Animateur

      L’intérêt pour moi est de permettre une action différée, à la prochaine visite : encore un peu plus de ventilation, encore un peu plus de sel déshumidificateur. Ca me permet aussi de voir si je vais dans la bonne direction (la bache d’hivernage sur la timonerie et le roof a été un progrès très significatif en terme de condensation sur les nombreuses surfaces vitrées du nauticat 33)

      J’ai déjà noté que l’eau du port est à 6° (en mer c’est 9° selon M-F) et pourtant le compartiment moteur (caisson assez fermé et séparé des parois latérale mais pas du fond) semble être plus chaud que la mer et même que la timonerie qui est juste au dessus. Le datalogger confirmera peut-être cette impression étonnante, et puis raisonner sur des mesures plutôt que sur des impressions me convient assez.

      Les effets d’orientation me touche plutot pour le verdissement du pont en teck que pour les températures de parois (mesurée avec le thermomètre « pistolet laser » à chaque visite) mais je garde cet effet en tête, non je ne retourne pas le bateau périodiquement ;-)

      Sous des capots de coffres extérieurs en bois j’ai de belle moisissure mais par encore de colibies ou autres champignons macroscopique, je suis ça de très près.

      hors de question de laisser un chauffage, fusse-t-il du type tube étanche de 60W, ici les bornes 220V se coupent au bout de 24h. Installer de gros PS pour chauffer 180 W (le proprio précédent hivernait à quai avec 3 tubes de 60W 12h/24), onéreux et j’ai pas la place de les stocker à bord l’été, quoique ...
      En attendant, je persévère.

      Répondre à ce message

Répondre à cet article

UP

Copyright et informations légales