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Accueil du site > Articles > Traditions et cultures
Traditions et cultures
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Articles de cette rubrique :
essai LES PÊCHEURS MÉDITERRANÉENS Auteurs R.Curbet M Perruchot Au cours de nos navigations nous croisons quantité de pêcheurs. Nous avons seulement voulu vous montrer les pêcheurs de Méditerranée. (...) |
c’est curieux, mais, vous ne ferez pas deux pas sans vous heurter à un homme de mer... |
Sans la détermination de certains hommes, jamais les transports maritimes n’auraient pu assurer la vie, voire la survie de populations locales, loin des grandes lignes commerciales. |
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Virgile revisitant Homère, nous propose une épopée latine, cheminant de la ruine de Troie à l’avènement de Rome. Ouvrage politique écrit pour plaire à Auguste et montrer l’ origine glorieuse d’Auguste, via son oncle César qui disait descendre d’Enée et donc de Vénus. Cà fait rien, c’est une belle histoire de marins, racontée ici en 14 étapes, or, nous marins de plaisance les avons tous visités. |
Habituel chez les professionnels, mais plus rare pour les plaisanciers, passer Sein en hiver exige de l’expérience, de la patience, un bon bateau, et de l’humilité |
Mal connue, peu traitée sous son angle maritime, la navigation dans l’archipel des Cyclades a obligatoirement été le lien commercial qui permettra l’essor de la civilisation pré cycladique 3200 à 2400 av JC |
LES BELIGOUDINS - Table des chapitres |
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Où Joachim laisse son bateau à Kemer, et entame une tournée des derviches, de la Cappadoce, et pousse jusqu’à l’Euphrate, à une époque où ce n’était pas courant... |
Créé par des turcs, en 2015, traduit en français, c’est une remarquable collection des ports, marinas et mouillages en Turquie |
Où Joachim change de lieu d’hivernage et pousse jusqu’à Antalya |
Où Joachim découvre les merveilles des épousailles des monts du Taurus et de la Mer Méditerranée |
Escales exotiques La danse des eaux turquoises |
Ou Joachim mène le Beligou, et son équipage, de Kusadasi à Marmaris, dans les eaux turquoise turques et grecques |
Mer de Marmara, les marchés… Les marchés, tradition ancestrale en Turquie, prennent un style très particulier quand ils s’établissent sur un port. C’est le cas à Esenkoy, également nommé Katirli, sur la côte Sud Est de la mer de Marmara. |
Où le beligou étant en réparation, Kerdubon et sa famille font du tourisme en camping-car... |
Où Kerdubon ramasse dur... |
Où Joachim termine son tour du Péloponnèse, et en famille depuis Nauplie jusqu’à Nidri ou l’attend sa voiture, bien malade... |
D’abord en famille, puis solo (enfin... avec son chien et sa femme) Joachim se frotte à notre histoire, découvre nos racines, et se ramasse un coup de vent d’Est (ça c’est une saloperie) heureusement à l’ouest du Péloponnèse... Pas de doute, ces bretons ont de la chance (ndlr : on pourrait aussi parler de talent...) |
Où Joachim attaque sa deuxième saison en Mer Ionienne. Il va faire le tour du Péloponnèse, et pour démarrer, avec son chien et sa femme... Cap sur Patras |
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L’Epire et le meilleur... |
Première approche des îles grecques, à une époque où l’on pouvait encore les approcher, et pourtant les prémices de la barbarie pointait son nez, Joachim les nomment : « les flotillas » |
Fin du chemin de croix à Malte et envol vers l’aventure grecque |
Le chemin de croix se poursuit à Malte |
Le chemin de croix commence à Malte |
Kerdubon, en Malaisie |
La navigation, comme beaucoup d’autres métiers ou d’autres sports, a son propre langage technique. Et comme dans tous les autres sports, ce qui se dit en un seul mot devrait souvent être traduit par une longue phrase si l’on n’utilisait pas un langage spécifique |
L’auteur, en s’appuyant sur des références de qualité, nous remet en mémoire toute la difficulté du « raison garder » quand on traite de l’équilibre écologique |
La mer n’est jamais domptée par l’homme. Le marin promis à une longue vie est celui qui cède à la mer lorsqu’elle se fâche pour mieux lui survivre et qui en toute circonstance saura exploiter ses cadeaux et ses faiblesses. La combinaison des savoirs accumulés, des attentes des navigateurs, des progrès techniques et des conditions naturelles a défini des routes et a façonné un espace-temps original, que les thalassocraties antiques ont tenté de maîtriser à leur profit. |
Bacchanales étésiennes au gré du vent de Grèce en Turquie, comme les anciens... Merci Kerdubon. |
Le bateau est mythique et son équipage ne l’est pas moins... Déjà, fragola en italien, c’est la fraise... Ce qui n’est pas commun pour un nom de bateau... Il a été baptisé pour être original... Il l’est, et très beau.... |
Ou Joachim se retrouve encongaillé |
Ou Joachim se laisse gagner par les douceurs indochinoises |
Depuis le Tibet, le Mékong draine la terre jaune. Par ses neuf embouchures... les neuf dragons Il crache loin en mer de la vase et des détritus végétaux, d’autant plus loin que les eaux sont gonflées par la mousson. Il suffit de remonter la piste pour trouver la presqu’île de Camau, en évitant bien sûr les deux frères, le bagne de Poulo Condore et autres obstacles plus ou moins flottants. |
0ù Joachim Kerdubon se voit confronté au pillage des réserves stratégiques du bord, dont le champagne destiné au haut commandement de notre armée coloniale en Cochinchine... |
Le Mutin est la plus ancienne unité navigante de la Marine nationale. Il a été lancé le 18 mars 1927 aux Sables-d’Olonne. C’est un dundée construit en 1926 sur le modèle des thoniers à voile par les Chantiers Florimond-Guignardeau. |
Kerdubon explore Singapour |
Singapour une perle sur la couronne |
Où, Kerdubon nous parle des traditions et des potins de coursives.. |
Dans ce premier recueil de photos, Heidi et Nicolas évoquent les îles visitées autour du monde pendant leur voyage en voilier s’étalant sur neuf années. Le présent ouvrage retient une sélection de 80 d’entre elles, regroupées par océan, et repérées sur la carte de leur parcours. |
où, Kerdubon lâche la proie pour l’ombre, et où il faut bien le dire, il se fait carrément baiser... |
Kerdubon, à Java |
Kerdubon, en Indochine |
Kerdubon, l’africain |
Kerdubon, le retour... en Polynésie |
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Kerdubon, le retour... en Polynésie |
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IC Campbell, néo-zélandais et professeur à l’université de Canterbury, à Christchurch, NZ, est probablement passionné de voile et de navigation. Il s’est interrogé sur l’origine des voiles dites « latines », établissant un comparatif avec les voiles traditionnelles des océans Indien et Pacifique |
Chio, le fond du couloir des habitants... Lors de plusieurs escales dans l’île, nous ne pouvions manquer d’aller admirer les paysages, visiter les quelques ruines pas forcément antiques à part celles du temple d’Apollon à Phana et surtout les beaux villages, dont les habitants rescapés des massacres turcs de jadis intéressaient fortement l’exote que j’étais. |
Le Colosse avait les pieds plats ! |
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A cause de ce qui se passe dans le monde, apportant la crainte du cinglé mitrailleur où celle d’une dictature plus ou moins cachée de certains gouvernants, sont-elles terminées les belles escales en Turquie et ailleurs ?… est-ce fini l’exotisme ? |
Escales exotiques Danses olympiques |
Escales exotiques - Kastellorizo Selon Joachim Kerdubon, ceux qui ne croient pas un menteux qui n’est jamais un menteur, mais un embellisseur des choses, n’ont qu’à faire un petit tour au pays des dieux : la Grèce. Kastellorizo pour les anciens envahisseurs italiens, ou Megisiti pour les grecs modernes, ou Meis pour les anatoliens tout proches est chérie des dieux, et la danse est une valse lente, les maitres de ballet ont toujours été les envahisseurs. Les derniers, sont les touristes |
Escales exotiques - La danse du Pantheon Si dans un odéon, notamment celui de Périclès à Athènes, on y récitait des poèmes, on y faisait de la musique ou si les anciens y chantaient, au Panthéon du mont Parnasse, les dieux dansaient ! Ceux qui ne croient pas un menteux qui n’est jamais un menteur, mais un embellisseur des choses, n’ont qu’à faire un petit tour au pays des dieux : la Grèce. |
Danses exotiques, Le bouzouki fait danser... |
Escales exotiques. Zeybek, la « danse du brave turc » |
Escales exotiques. La danse de Zorba le Grec ! |
Présentation Selon Courtanvaux :
A la mer, c’était par des observations lunaires qu’on devait réussir. Pour cela il fallait avoir de bonnes tables de ce satellite |
Présentation La latitude et l’heure locale s’obtinrent par des observations de hauteur. De nombreux instruments furent employés pour mesurer la hauteur ou pour lire directement ces éléments. Instruments compliqués et d’un usage délicat. Il valait mieux construire des tables, c’est ce que fit Cassini, ou utiliser des graphiques. |
Présentation Des habitudes et des pesanteurs culturelles : on peut comprendre que les pilotes enracinés dans leur savoir-faire empirique, et pouvaient-ils faire autrement, aient résisté aux théories des calculs lunaires ou de la recherche de la longitude. Ils remettaient même en cause les règles de nœuds du loch, c’est dire !!! Il en allait tout autrement du corps des officiers, car d’après Fleurieu :
C’est par la formation que l’on s’en sortira, et c’est à quoi s’attelèrent les Académies : l’Académie de Marine, mais aussi l’Académie des Sciences et même l’Académie française !!! |
Présentation F Marguet conclu :
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Présentation
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Présentation
On en discuta beaucoup, mais c’est vers le milieu du XVIIIe siècle que furent proposées, parmi toutes les méthodes logiquement possibles, celles sur lesquelles devaient porter les dernières discussions. D’abord la méthode proposée par Bouguer en 1753, puis Pingré en 1758, La Caille l’année suivante, enfin Rochon, en mars 1768 dans son voyage vers l’île de France, démontra dans cette traversée que la méthode permettait d’atterrir précisément. |
Présentation Julien Le Roy le collaborateur de Sully, avait donné un grand essor à l’horlogerie de notre pays. On lui est surtout redevable, dit Berthoud, de la perfection que la main-d’œuvre acquit de son temps. Pierre Le Roy, son fils, doué d’un tempérament d’artiste, n’a vraiment livré que deux horloges à l’étude des marins et des astronomes. Mais les principes de leur construction étaient simples, clairs et si justes, qu’ils ont été adoptés après lui, malgré de profondes modifications dans leur réalisation Ferdinand Berthoud né à Neufchâtel, vint à Paris, en 1745, à l’âge de 18 ans, et il s’y installa à proximité de Julien Le Roy. Il a incomparablement plus écrit et plus construit que Pierre Le Roy. Tenace et grand travailleur, en 1763, un gros Essai sur l’Horlogerie, annoncé dans son Art de conduire les pendules publié à La Haye en 1759, le fit connaitre avantageusement. |
Présentation Né en 1874, décédé en 1951 Ferdinand Marguet publia son histoire générale de la navigation du XVème au XXème siècle en 1931. Prophète, il ressenti l’accélération de la technique et conclu son ouvrage de cette citation :
Historien, il a montré les progrès accomplis pour les théories des calculs lunaires, de l’horloge de longitude, du sextant et de la droite de hauteur. De même pour la boussole et les techniques de loch, où il a fallu trouver des solutions aux problèmes de la déclinaison, de la déviation, et comprendre les phénomènes des courants et des marées Il montre bien que si les théories étaient perçues très tôt, leur application correcte ne pouvait passer que par les progrès de la technologie. Et quand on pense qu’il n’a pu traiter ni des moyens radiogoniométriques, ni du radar, ni du GPS et de l’AIS, arrivés en si peu de temps, on est pris de vertige sur cette phénoménale accélération technologique… |
Présentation
De Hooke en 1666 se servant d’un miroir pour ramener la direction d’un objet sur celle d’un autre et permettre de cette manière la mesure d’un angle, au sextant d’ Hadley et de Thomas Godfrey , en passant par l’octant d’Hadley en 1731, on a su mettre au point les moyens techniques de mesure d’angle. |
Barques de pêche, barques de plaisance, barques de travail... elles sont souvent très belles... |
Je ne sais pas si ce genre de voltige existe dans d’autres ports. Mais ici à Babakale, en Turquie, il est de tradition en été d’y voir entrer chaque soir une vingtaine de chalutiers de 20 à 40 m. |
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Partie très largement oubliée de notre patrimoine historique, les découvertes de grands marins français permirent et la mise au point des moyens de pilotage et surtout l’émergence d’une cartographie indigente il y a encore si peu de temps. Voir en particulier trois articles publiés par ailleurs sur PTP sur Marion Dufresne :